30 June 2014

Je déteste les légumes.


Avant d'être accepté à cette étude à l'étranger programme, j'ai eu un entretien. Pendant l'entretien, Tara m'a demandé au sujet des restrictions alimentaires. J'ai fait une chose très claire : je déteste les légumes. Je sais que le mot « détester» est un mot fort à utiliser, mais je pense que le mot décrit mon profond dégoût pour eux. Il y a quelques légumes que j'aime. J'aime les artichauts et les pommes de terre. Je peux manger de la salade, mais je suis difficile sur ce type de laitue est dans ma salade. Donc, il y avait des légumes que j'ai aimés avant le voyage, mais pour la plupart, je les ai détestés tous. Le petit-déjeuner est le seul refuge parce que les légumes ne sont jamais présents.

Cependant, pendant ce voyage, j'ai été forcée de faire face à mon ennemi à plusieurs reprises. Il y a des salades à chaque déjeuner et dîner et les légumes sont toujours un présent fichu aussi. Les chefs ici réussissent à se faufiler dans les légumes dans des endroits non visibles à l'œil nu, parfois. Je sais que Roxanne, qui travaille dans la cuisine, doit être en train de comploter contre moi.

Malgré tous mes efforts, j'ai en vain d'éviter les légumes parce qu'un thème majeur de ce voyage est d'avoir de nouvelles expériences et de tout essayer. Ce thème est apparu avant même que le voyage ait commencé.
Voici une liste de dix choses que je n'ai jamais fait avant ce voyage :
1.     Je n'ai jamais été à des colonies des vacances, comme Camp Ozark.

2.     Je n'ai jamais été parti de mes parents (et ma maison) pendant cinq semaines.

3.     Je n'ai jamais voyagé à l'étranger avec des gens que je viens de rencontrer.

4.     Je n'ai jamais travaillé dans une école qui parlait une langue différente.

5.     Je n'ai jamais été obligé de parler une autre langue pendant cinq semaines.

6.     Je n'ai jamais eu à travailler avec quelqu'un qui ne sait pas comment parler anglais.

7.     Je n'ai jamais été très imprévisible.

8.     Je n'ai jamais été un fan de légumes (pour dire le moins).

9.     Je n'ai jamais pensé que je ferais un voyage unique comme celui-ci.

10.   Je n'ai jamais pensé que je serais capable de faire un voyage comme celui-ci.

Dans quelques jours, ma liste de "jamais" a commencé à devenir plus petit et ma liste de nouvelles expériences a grandi.

Par exemple, permettez-moi de raconter notre dîner au restaurant Chez Bébert :

Nous sommes venus de notre première journée complète à Paris de visiter les monuments. Tout le monde est épuisé parce que nous avons commencé à 8h du matin et, enfin, nous étions assis autour de 22 h 30. Rachel, mon nouvel ami et moi étions assis à une table avec Bernard. Lorsque la nourriture vient à notre table, Bernard commence à mettre la nourriture dans nos assiettes. Je lui ai dit que je n'aime pas les légumes, qui sont reçu avec un regard de choc. Cependant, il réussit à obtenir sa façon (comme d'habitude) et il y a des légumes dans mon assiette. Par un je les ai essayés chaque avec un visage aigre. À vrai dire, certains ne sont pas trop mauvais. J'ai pensé que, puisque je les avais essayés ce soir-là, je serais bonne pour le reste du voyage. Mais ce n'était pas le cas. D'autres se joignirent avec Bernard à me faire essayer des légumes pour le reste du voyage. Au lieu de se battre, j'ai appris que d'essayer tout était la solution la plus simple.

Essayer tout ce que j'ai fait tout le voyage. Bien que je sois nerveuse à certains moments, tout le monde était là pour m'aider. A cause de cela, j'ai gravi une montagne, fait le parapente, a mangé des légumes et fait d'autres choses étonnantes.

Et en rentrant chez moi, il y avait des haricots beurres sur mon vol pour le dîner. Quand je les ai vus, j'ai ri de penser à tous ceux qui seraient me dit de les manger, ce que j'ai fait.

-Katie

Mes rêves dans la vallée


Depuis que je suis arrivé dans la vallée, mes rêves sont très vifs. À l'instant où je pique du nez dans le minibus ou fait une sieste sur une colline pendant une randonnée, un rêve commence comme s'il n'y avait pas de transition entre lui et la vie réelle. Je peux m'en souvenir clairement, comme s'ils étaient des événements qui se sont en fait passés. Il n'est jamais comme ça dans mon lit à la maison. Effectivement, tout cela provoque une certaine confusion; il y avait plusieurs fois que j'ai dû m'assurer que quelque chose dont je me souviens très bien s'est réellement passée. Mais j'aime bien cette confusion. J'essaie d'écrire ce que je peux me souvenir de mes rêves, pour mieux comprendre ces impressions, ou au moins pour les garder et en puiser de l'inspiration, comme on en ferait avec un souvenir précieux. Il semble être un exercice de l'imagination. Tout au long de la journée quand je semble plongé dans une rêverie, souvent j'essaie de deviner plus profondément où mon imagination m'avait emmené la veille. En y repensant, c'est assez “Mittyesque”, d'un sens. Mais plutôt que les désirs malheureux de l'héroïsme que Walter Mitty—l'homme qui, dérobé par ses grand fantasmes, était détaché rêveusement de sa propre vie—a imaginé, je me sens plus en accord avec des idées des surréalistes, qui a essayé, sous l'influence des autrefois nouvelles idées de Freud, de laisser le royaume de rêves infiltrer leurs vies et leurs esprits créatifs. Ça, c'est une idée qui m'a toujours influencé, l'une de laisser l'imagination devient un lien commun entre la vie consciente et le monde secret de l'esprit, le subconscient. Leur pratique de « écriture automatique », tandis que je crois (contre André Breton, le père du mouvement surréaliste) qu'on doit peaufiner l'écriture si c'est à devenir un œuvre de valeur ou de lisibility, est un exercice de deviner l'imagination. J'essaie cet exercice souvent dans mon petit cahier en réfléchissant sur mes rêves et je pense que ça fasse des pensées, des images, des impressions spontanées qui deviennent les idées poétiques.

Je pense que ce confluence de mes rêves et mes pensées conscientes m'a aidé pas seulement avec les poursuites créatives, mais aussi avec mon immersion dans la langue française. Il y avait plusieurs fois ici que, quand quelqu'un entre la chambre dans laquelle je m’endormis et puis parle, cette personne entre aussi mon rêve. Quand ça se passe, je généralement dis quelque chose bizarre de mon sommeil, qui est amusant ainsi que confondant pour mes amis. Mais àpres deux semaines, j'ai commencé à entendre et souvenir des paroles françaises de mes rêves, et les choses bizarres que je dis sont maintenant souvent des bizarres choses en français ! Rêver dans une autre langue, c'est quelque chose que je n'ai jamais imaginé.

Dans la plupart des scènes de mes rêves, la distribution des rôles est joué par mes compagnons qui m'entourent pendant ce voyage. Il n'y a jamais le groupe entier mais cinq ou six d'entre nous, choisis au hasard. Tard dans la nuit, nous réalisons une version mythifiée de nos voyages précédents. La nuit après notre visite à La Maison du Bois, nous étions dans une forêt mystique, tentaculaire et drapé d'un brouillard épais et éclatant, flottant et cherchant quelque chose de non-spécifié. Pendant qu'on était à Paris, j'ai fait des rêves qui se passait dans la ville, animés avec tout l'émerveillement électrique et l'énergie nerveuse de la ville, encore cherchant, poursuivant quelque chose à travers les métros et les rues labyrinthines. Mais moins souvent, je rêve que je suis encore à la maison, mes amis et la famille parlent français même mieux que moi, avec leurs propres expériences et impressions de France.

Je ne sais pas pourquoi mes rêves sont si prononcés ici... mais la raison pour laquelle ils sont si difficile à différentier des événements du jour semble claire. C'est parce que nous sommes plongés dans une paysage qui ressemble toujours un rêve. Tôt du matin, à l'instant de réveillant de nos propres rêves, on descend pour manger le petit-déjeuner. Regardant vers la fenêtre, on voit soit le ciel clair, la montagne fière, debout haute et incontesté contre le bleu brillant, soit la même montagne enveloppée d'une robe sombre de brume, toute couverte de ses épaules mais sa tête encore visible. Peut-être ce n'est pas aussi fantastique pour les gens qui viennent de la région, parce qu'ils ont été élevés dans ce paysage magique. Probablement mes proches ne sentent pas la qualité onirique dans les photos qu'ils voient, mais pour moi c'est vraiment quelque chose qui, comme un rêve, ne peux jamais être complètement saisie d'une image. C'est plutôt l'impression, ces impressions qui me coupent le souffle chaque jour, que l'image qui donne le sens de émerveillement, qui a le pouvoir de faire rêver.  

25 June 2014

Non, non, non, pas comme ca !


« Potiran, potirhum, potirone. » Pendent trente minutes Mimi m’a aidé à prononcer le mot, « potiron ». Mimi est une femme qui travaille au magasin du pays à Jausiers où je fais mon stage. C’était difficile pour moi de prononcer la fin du mot. Elle a dit que quelque fois j’ai prononcé la fin de « potiron » comme le mot, « rhum ». D’autres fois elle a dit que c’était drôle le façon que j’ai bougé la bouche, la tête, et les épaules quand j’ai essayé le prononcer. Elle a dit « potiron » et j’ai essayé de le dire, et elle a dit « non, non, non, pas comme ca ». Elle était patiente avec moi et gentille de prendre le temps de m’aider.
J’ai entendu les mêmes choses à la pâtisserie aussi. « Non, non, non, pas comme ca ». À la pâtisserie, j’ai entendu ces mots quand j’ai essayé de plier la croute des tartes.  Plier la croute d’une tarte n’est pas facile ! Il y a une technique que je ne sais pas faire. Le pâttissier la, Benoît, était très sympa et patient avec moi, même si je pense que j’ai fait toutes les tartes moches.
J’ai entendu « non, non, non, pas comme ca » à un autre stage : le centre équestre. J’ai vu la première fois qu’un cheval était monté. L’homme qui a monté le cheval a dit « non, non, non, pas comme ca » au cheval quand le cheval a cahoté. Le cheval doit entendre ça pour apprendre. C’est la même chose quand on me dit « non, non, non, pas comme ca ». J’apprends. Entendre « non, non, non, pas comme ca » n’est pas décourageant pour moi. En fait, c’est encourageant parce que c’est facile à voir que les gens qui me le disent veulent m’aider. 

Le repas
 Je crois que je organiserai  un dîner quand je retournerai aux Etats-Unis. J’ai beaucoup appris sur le repas français. Je trouve que les américains mangent très vite. En France, on mange lentement. Le repas français est le moment pour discuter et parler. C’est une expérience sociale. Il y aura des plats différents et toujours du café. J’adore la nourriture en Provence. La cuisine régionale se compose des pois chiches, des tomates, de la ratatouille et des olives. Mais mon plat préfère est le cordon bleu, lequel n’est pas provincial mais je l’adore quand même. 
Chez Bosco
Quand je pense au dîner que je voudrais organiser, je me rappelle la nuit que nous avons passée chez les Bosco. Il y avait des cailloux avec nos prénoms qui ont marqué nos places. La table a été joliment dressée. C’était à la terrasse et le vent souple était sympa. Mais quand je lance mon diner, je pense qu’il fera trop chaud à l’extérieur. Denise Bosco a fait un menu pour chaque personne avec un bâton de lavande. Il y avait un apéritif de Pastis et puis l’entrée, suivi par le plat principal. Apres ça, le plus beau plat de fromage que j’ai jamais vu. Il serait très difficile d’obtenir les mêmes fromages aux Etats-Unis mais je pense que je pourrais trouver du fromage de chèvre et du gruyère. Ensuite et finalement était le désert et le café.
Le Projet
Pour l’atmosphère, je mettrais des vases avec des fleurs sur la table. Je montrais un diorama de mon voyage et de la Provence sur deux ordinateurs portables. Je vais essayer de copier le diner chez Bosco. Pour chaque personne, je ferais un menu avec des mots français importants : Merci, De rien, A votre santé, etc. Aussi, les manières de la table. Je commanderai mes amis de parler un peu français. Pour le menu, je voudrais faire des choses faciles, parce que je ne suis pas un bon chef. Pour l’apéritif, ni moi ni mes amis buvons d’alcool, donc je ferais des petits cocktails sans alcool. Ce sera le seul repas français sans du vin. Pour l’entrée : des tomates provençales et des pois chiches. Pour le plat principale, il faut que je réfléchisse plus, mais peut-être la ratatouille. J’ai appris comment on fait des pates aussi, donc je pourrais faire ça. Apres ça, du fromage, et après ça le dessert. J’ai fait un stage à une pâtisserie mais, peut-être j’achèterai des éclairs  au supermarché. Finalement, du café et du thé.
          
  Aujourd’hui j’ai lu un article sur comment on doit lancer un apéritif dinatoire réussi.  Je le considérai quand je plan pour mon dîner.

Le ping pong: pas simplement un jeu

Dans ce programme dans les Alpes françaises, on n'a pas beaucoup de temps libre parce qu'il y a toujours une belle randonnée à faire, un blog d'écrire, ou un repas délicieux à manger. Mais qu'est-ce qu'on fait ici à Jean Chaix quand on a le temps libre et l'envie de s'amuser? On joue au ping pong. Souvent la compétition est intenses, et les matchs de ping pong étaient devenus très importants. Actuellement, je dirais que la championne est Rachel, mais il y a toujours l'occasion pour quelqu'un nouveau de montrer leurs habilités. 

Il y a quelques journées, je me suis rendu compte quelque chose surprenant. Le ping pong, ce n'est pas seulement important pour nous à Jean Chaix, mais c'est aussi un sport très important pour tous les gens qui habitent dans la Vallée de l'Ubaye beaucoup plus que pour les gens qui habitent en Louisiane. C'est vrai que pour environ un mois quand j'étais en collège, nous avons joué au ping pong pour mon cours d'éducation physique, cependant, dans la Vallée de l'Ubaye, il y a des ateliers de ping pong pour tous des étudiants! 

Katie et moi, quand nous sommes passées un matin à l'école l'autre jour, nous avions la chance de témoigner cet événement et même participer. Nous sommes arrivées à l'école de St. Pons, et les étudiants nous ont dit que ce jour-là nous serons allés au centre des sports à Barcelonnette pour apprendre le ping pong. Nous sommes montées l'autobus avec les deux classes les plus âgées de l'école. Quand nous sommes arrivées au centre des sports, il y avait des enfants de presque toutes les écoles primaires dans la Vallée. C'était vraiment impressionnant. Il y avait des équipes des enfants qui ont visité des ateliers différents pour améliorer leurs compétences en ping pong. Katie et moi étions responsables d'une équipe. C'était un peu difficile parce que nous devions comprendre les règles de chaque jeu et écrire les scores de chaque enfant. Dans l'ensemble, c'était une expérience instructive et éprouvante pour la langue française. Maintenant, quand je joue au ping pong ici à Jean Chaix, je peux dire que je ne suis pas simplement en train de participer dans un jeu pour s'amuser, mais que c'est une activité culturelle et un sport important dans la Vallée de l'Ubaye.
Les Ateliers de ping pong

23 June 2014

Impressions de Provence


Le premier samedi après avoir quitté Paris, nous avons visité la ville de Gordes, la plus belle ville que j'ai jamais vue. La campagne, qui s'étalait sereinement sous la vue de la ville sur un rocher haut, avait un air intemporel, comme si elle n'avait pas changé depuis des milliers d'années. Le terroir riche est encore nourri par le sang de l'histoire, le paysage animé éternellement par les vents de la Méditerranée. La vue me rendait complètement sans voix – aucun mot était suffisant. Ayant besoin d'un moment de solitude, j'ai trouvé un endroit isolé et regardé le panorama avec étonnement pendant quelque minutes. C'est peut-être quelque chose dans l'air parfumé de fleurs sauvages, ou quelque chose dans la terre rustique et rugueuse mais doucement orchestrée, dans une parfaite harmonie émouvante avec la vie campagnarde – quoi qu'il en soit, cette région m'enchante.
Nous y avons rencontré les Boscos, un couple charmant qui a une passion pour leur région, qu'ils partagent avec nous si généreusement. Le week-end après notre première rencontre, notre dîner dans leur maison était magnifique, vraiment une expérience de l'hospitalité provençale. Pastis, olives, vin, fromage, pierres du lit de la rivière Rhône, brins de lavande – et le plat principal, avec lequel ils nous ont permis de les aider – de la polenta avec un ragoût de tomates, de poivrons, d'olives et de saucisses. Tout cela, et beaucoup de conversation de façon conviviale … je n'oublierai jamais cet accueil chaleureux.

Le week-end
suivant, nous avons visité plusieurs sites d'intérêt dans la région. Voyant les sites qui ont été honorés par certains des plus grands artistes de la région et peut-être de tous les temps, comme l'Aix-en-Provence de Cézanne, le Val d'Enfer qui a inspiré des peintures de Van Gogh ainsi que la Divine Comédie de Dante, et les endroits où les deux peintres ont vécu et ont travaillé. Tout cela, c'étaient des expériences inspirantes autant que humiliantes. De nouveaux ces lieux semblaient figés dans le temps; leur majesté, sauvage mais aussi un témoin de l'humanité, se fait encore sentir, même parmi leurs équipements modernes.


17 June 2014

Il y a une première fois pour tout


Pendant ce voyage dans la Vallée de l'Ubaye, il y avait une multitude de choses que je fais pour la première fois dans ma vie, et que je ne ferais pas si j'étais à Baton Rouge maintenant. C'est une des plusieurs raisons pour laquelle mon temps ici est vraiment exceptionnel.

Avant ce programme, je n'avais jamais :

- essayé des macarons de Laudurée à Paris

- essayé le chocolat chaud d'Angelina's à Paris

- mangé des falafels dans le Marais

- navigué des trains et le métro de Paris sans aide d'un natif/parisien/des locaux 

- visité le sud de la France y compris les Alpes françaises, les villes de Gordes, Barcelonnette, St. Pons, Jausiers, Aix en Provence, Baux de Provence, et St. Remy de Provence, et la frontière de l'Italie !

- acheté du shampooing français

- fait un stage en France

- essayé les produits de beauté font avec le lait d'ânesse

- bu du café d'un bol

- parlé avec des enfants français

- joué au ballon prisonnier

- fait une présentation des reptiles de la Louisiane aux enfants français

- fait une gravure et 3 tirages

- fait de la luge

- joué dans la neige pendant le mois de juin

- essayé le dentifrice romarin

- fait des pâtes 

- fait un stage à une pâtisserie

- travaillé au magasin des produits régionaux

- fait une randonnée dans les montagnes

- fait du rafting

- reçu le conseil sur la vie et le mariage d'un homme français

Finalement, avant ce voyage, je peux dire que je ne me suis jamais réveillée d'une sieste sur le sommet d'une montagne. Ce qui s'est passé, c'est que nous avons fait une randonnée, et après notre pique-nique, nous avons tous fait une sieste sous le soleil. Pendant mon sommeil, j'ai oublié que j'étais dans les montagnes, donc quand j'ai ouvert mes yeux, la vue splendide m'a rappelé de ce qui s'est passé est que j'étais dans les Alpes françaises et pas à Baton Rouge à ce moment-là.


Une belle vue de notre randonnée dans le Col du Vallonné
Notre pique-nique avant la sieste

Les Reptiles de la Louisiane


Le 3 Juin, Alexis et moi avons observé la classe de Cyril. Ce jour-là, les enfants allaient sur un devoir sur les reptiles. Comme Alexis et moi écoutions au sujet de reptiles, Cyril se tourna à nous et il nous a demandé de faire une présentation des reptiles de la Louisiane pour la classe, ce qui nous avons convenu de faire. J'étais à la fois impatiente que je serais vraiment enseignée dans un environnement français, mais aussi nerveuse que je serais vraiment enseignée dans un environnement français. J'ai aussi été nerveuse à cause du peu de temps libre Alexis et moi avons cours de ce programme. Nos journées sont toujours remplies avec des activités.

En raison de notre emploi du temps occupé, nous remettons à plus tard la présentation jusqu'à la semaine prochaine. Le 11 mercredi, nous avons finalement commencé à travailler sur la présentation. Il avait été longtemps depuis que nous avons appris sur reptiles, donc nous avons examiné le type de reptiles ainsi que ceux trouvés en Louisiane. Pour les lézards, nous avons choisi les "Coal Skinks". Pour les serpents, nous avons choisi le “Yellow Bellied Kingsnake” (non venimeux) et le “Cottonmouth” (venimeux). Pour les tortues, nous avons choisi le « Alligator Snapping Turtle. » Nous avons sauvé le meilleur animal et animal le plus représenté de la Louisiane pour la dernière: l'Alligator Américain.

Le lendemain, le 12, était le jour de notre présentation. Pendant le matin, Dubi a revu notre présentation, qui a été très utile! Alexis et moi avons pratiqué notre présentation beaucoup.  J'étais très nerveuse de beaucoup de choses.

Enfin, l'après-midi est venu et Alexis et moi avons présenté notre présentation. Bien que je sois nerveuse avant, la présentation s'est très bien passée! Les enfants et le professeur étaient intéressés par notre présentation, ce qui était génial ! Avant ce voyage, je ne pense pas que je sois capable de faire une présentation dans une école française pour les enfants français. Mais maintenant, je sais que je suis capable. Je pense que cela montre mon progrès et je suis très fière de ça.

-Katie