29 June 2015

Home is behind, the world ahead

I'm J’aime les hauteurs. Je sais pas pourquoi, mais ils m’attirent quand même. Plus spécifiquement, j’aime être sur les versants des montagnes, en marchant, en grimpant vers les sommets, passé la limite des arbres. Les gens qui me connaissent bien vous diraient que, souvent, j’aime me situer dans les situations plus dure que strictement nécessaire. Avec plusieurs des chose, je boucle sous la pression. Mais, heureusement, j’ai des jambes d’un mulet ; ils sont faites pour les pistes hautes des montagnes. 



Je voudrais penser que c’est pareil avec mes études du français. Au début, j’avais froid et les petites collines me faisaient souffler fort. Mais avec du temps, je commence à trouver ma propre rythme et je suis au pied sûr. Avec l’oxygène de l’éducation que je reçois des profs, je peux souffler facilement—mais, aux hauts, l’oxygène devient rare et je dois placer mes pieds doucement si j’aurai une chemin à la cime. 



Si j’apprenais seulement deux choses pendant ce voyage, ils seraient le savoir des choses que je sais—et celles que je sais pas. Ce savoir est indispensable pour apprendre plus. Au début, presque tous les gens avec qui je parlais à Paris essayaient à changer à l’anglais. Mais actuellement, c’est seulement 1 sur 10. La confiance seule que je cultivais avec l’aide de Tara, Barclay, Bernard et tous les gens incroyables du voyage changeait mon apprentissage de la langue. 



Je disais qu’il y a moins d’oxygène ici. C’est-à-dire, les profs peuvent nous enseigner jusqu’à un point. Ils peuvent nous mener à l’herbe verte, mais ils ne peuvent pas nous forcer à la manger. Les livres restent toujours la terre solide sous mes pieds, les francophones, les films, les gens secourable sont les mains offerts pour m’aider à grimper plus en haut. Ce voyage à la vallée d’Ubaye, ces souvenirs inoubliables, tous mènent à cette cime où je reste debout. J’y peux voir où je passais et où je dois aller à l’avenir. 



Mais, comme toujours, ce qui avait l’air d’être la cime est seulement un piton vers les cimes plus hautes. J’ai toujours les choses à apprendre. En me trouvant sur la précipice entre mon introduction à la langue française et l’exploration à venir de toute d’un vie devant moi, je me rappelle d’une chanson de J.R.R. Tolkien :

Home is behind, the world ahead ;
And there are many paths to tread.

[Le foyer en derrière, le monde devant ;
Et plusieurs chemins à prendre.]



Je Parle Français

-Excusez-moi Monsieur. Est-ce qu'on peut entrer içi?
-No, you have to go up the...stairs.
-Merci.
-You're welcome.

Je parle français

 -Madame, puis-j'avoir ce macaron içi?
-Just that one?
-Oui, celui çi
-Okay

 Je parle français

Mais qu'est-ce que c'est? 
Est-ce que c'est mon chapeau en dentelle
Ma prononciation, mes habits, lequel?

Est-ce que tu as vu mes yeux amérindiens
Ma peau haïtien, mes souliers américains
Et oses conclure que tes paroles seraient plus claires
Dans la langue de la pauvre étrangère?

Mais je t'ai parlé en français 
Je parle mieux ta langue que tu peux la mienne
Je n'ai pas besoin d'aide pour une phrase quotidienne 

Non, arrête. Je dois être gentille
Je vais supposer que tu essaies d'être poli
Tu as appris l'anglais et tu as hâte de le parler
Dis-moi la prochaine fois et je peux t'aider

 Car je parle anglais...et français 

La France est fantastique. Je l'ai bien aimé
Les seules choses qui m'ont énervé sont 
Les mouches et les gens qui m'ont parlé en anglais

 

C'est Quelque Chose dans l'Eau

C'est quelque chose dans l'eau
Je ne sais pas ce que c'est
La vallée est grouillante de monde beau
En esprit, en âme, en personnalité

Il y a quelque chose qui brille dans leurs yeux
Leur parole et bises et compagnie chaleureux
Quelque chose leur permettre de donner aux étrangers
Une expérience qu'ils n'oublieraient jamais

C'est quelque chose dans l'eau

Est-ce qu'il vient des sommets enneigés?
Sucré avec le parfum des fleurs
Mêlé aux cascades pour des heures
Et transporté aux lacs pour mariner

L'eau des lacs rejoint les gouttelettes
Des acacias, des mélèzes, des châtaignier
Au ciel congelés par l'atmosphère

La vallée est arrosée avec l'élixir
Qui pénètre le sol des jardins
Et coule du robinet le matin

S'il n'est pas dans l'eau je ne sais pas ce que c'est
Mais c'est quelque chose qui doit être partagé
Au monde en entier

28 June 2015

La mémoire: tout ce qui brille



C’est quelque chose de mystérieux, la mémoire. Elle décide quelle émotion doit accompagner chaque souvenir que nous avons dans nos cœurs. Elle est fière, quelquefois hautaine. Si elle ne veut pas garder un souvenir, vous allez l’oublier. Par contre, quand elle décide de le garder, il arrive souvent que la mémoire embellisse ce souvenir comme si elle voulait polir une pièce d’or.

Les trois premières semaines de mon programme étaient difficiles. Je suis tombée malade. Ma carte de crédit a été mangée par un distributeur de monnaie à Saint-Rémy. J’ai dû développer une nouvelle routine, m’habituer à une nouvelle altitude. Il y a eu des moments où j’ai regretté ma décision de venir en France.

Néanmoins, j’ai persévéré.  J’ai grimpé les montagnes. J’ai travaillé. J’ai écrit des blogs et des articles. J’ai bu du café pendant que je lisais un journal. J’ai regardé le paysage de l’Ubaye illuminé par la lumière étincelante du soleil. J’ai pris des photos. J’ai pris des notes dans un cahier. Je me suis assise à la terrasse du Centre Jean Chaix juste pour apprécier les beautés de la nature. J’ai rencontré des gens de chaque âge et de toute catégorie sociale. Je suis restée dans la rue jusqu’à 3h du matin juste pour regarder les étoiles. J’ai chanté.

S’il y a une seule leçon que j’ai apprise ici, c’est que la vie est toujours belle, malgré les difficultés qui essayent de nous détruire. Les moments de tristesse et de bonheur se partagent souvent le même espace dans la vraie vie. Mais c’est la mémoire qui va déterminer si le moment était particulièrement bien ou mal.

Maintenant, ma mémoire commence même à reconstruire mes souvenirs de l’Ubaye. Elle me dit que tout est parfaitement fini, que j’ai vaincu les craintes et que j’ai vécu une grande aventure. Elle efface les moments de doute qui m’ont assaillie pendant les épreuves stressantes. Elle embellit les moments inoubliables : lorsque j’ai fait de la luge et du parapente, ou quand je me suis fait des nouveaux amis.  Elle me caresse avec de jolies histoires.

Je rends grâce au ciel pour mon séjour à Barcelonnette. Chaque montagne, au sens propre ou au figuré, m’ont enseigné la patience et le courage pour surmonter les obstacles. À mon avis, il n’y pas de choses plus importantes que ça dans la vie. Cette leçon est gravée dans ma mémoire, un cadeau de la vallée de l’Ubaye que je vais garder pour toujours. 

26 June 2015

Je parle franglais


     Il y avait un moment où j'ai cru que je pourrais parler couramment français après mes cinq semaines en France. C'était la raison pour laquelle ces études étaient vraiment frustrantes. Par ailleurs au début du programme, je n'ai pas réalisé comment tout le monde était ici pour apprendre sans considérer leurs niveaux variés. Premièrement,  j'étais nerveuse donc c'était difficile à parler. Si quelqu'un me dirait quelque chose, je serais bloquée. De plus, l'accent dans le sud de la France est différent que j'ai su. L'accent à Barcelonnette a été choquant pour moi quand j'ai entendu les citoyens. En plus, je suis malentendante, donc on peut imaginer ma panique pendant la première semaine. Une combinaison des émotions d'infériorité, des émotions de nervosité et finalement des émotions de confusion parce que je ne pouvais pas comprendre. Cette combinaison me gagne la capacité de parler « franglais. »
      Après une semaine de conversation avec des citoyens j'ai réalisé qu'il y a beaucoup de vocabulaire, de phrases et de grammaire pour moi à apprendre…plus que j'ai imaginé avant que j'étais partie des États-Unis. J'ai eu les flash-backs du livre Me Talk Pretty One Day par David Sedaris. Chaque fois que j'essayais de répondre à un serveur ou un chef aux stages, je me souviendrais quand il a dit « I'd struggle to entertain [people] with a pathetic string of simple nouns. ‘Ashtray !' » C'était difficile pour moi de produire des phrases parce que je penserais du vocabulaire. Si je me concentre sur le vocabulaire, j'oublie la grammaire et les phrases correctes, ou vice versa. J'ai réalisé que c'était la différence entre la traduction d'anglais à français et simplement les pensées en français. Pour beaucoup d'étudiants ici, il y a un air naturel qui est tellement décourageant. Au début, j'ai pensé de mon infériorité, mais comme plusieurs d'autres fois pendant ma vie, j'ai dû arrêter de comparer moi-même aux autres parce que la comparaison personnelle n'est pas constructive. Cet un leçon que je peux appliquer à toutes les choses dans ma vie : physiquement, socialement et personnellement. Avec beaucoup de gestes et un changement de penser en français, je peux utiliser les phrases semi-complètes. J'avais dit des phrases en français, mais il y avait beaucoup de fois où j'ai utilisé un mot en anglais parce que j'ai oublié le mot en français. Ça marche avec mes profs, mais pas avec les citoyens de Barcelonnette ! Donc, il faut vite adapter mon franglais.
Après que j'avais appris à parler sans comparaison, pour mon amélioration, j'ai trouvé un autre obstacle avec l'apprentissage d'une langue – la bloque à cause de m'a rendue nerveuse. Pour moi, c'était une sorte de surcharge. Considérez les accents de Barcelonnette et le sud de la France et mes problèmes de l'entendre, c'est difficile à comprendre les gens. Un autre moment où je me suis rappelée d'une scène de David Sedaris quand il veut que les locales de la France lui parlent comme un bébé. Maintenant je vois que je suis jalouse de bébés et la façon dont les adultes leur parlent lentement. Ma nervosité a fait naître les mots vraiment intéressants comme « becarce que » (because et parce que) et maintenow (now et maintenant).
Une autre étape de franglais : Le plus que j’améliore mon français, le plus que le franglais change. L’anglais est une lutte aussi maintenant ! Quand j’ai parlé avec ma mère, je disais les phrases comme « Yea mom I went to stage today, » or « where is the savon ? ». Un indice que je pense en français! Je suis contente de mon franglais, parce que je fais du progrès et je peux le voir. J'ai pensé que je pourrais parler couramment après ce voyage et on penserait que c'est un échec, mais pas vraiment. J'ai beaucoup amélioré mon français. J'ai appris qu'il y a encore beaucoup de choses pour moi à explorer et apprendre en France et c'est une raison pour moi à retourner. La France est pleine de culture et d'histoire. Je voudrais habiter en France pour l'expérience la culture unique et pour être une partie de la culture je veux pratiquer la langue et je veux devenir couramment français. Je dois revenir parce que je veux que mon franglais devienne français.

25 June 2015

Ce que la nature nous donne

J’adore la nature. Je me sens calme et tranquille quand je suis entourée par les arbres, les fleurs, et les herbes. Je préfère la paysage au lieu de la cité parce qu’une cité n’a pas beaucoup de vert. C’est un fait scientifique que la présence de plantes dans la maison est bonne pour la santé mentale. J’aime être près de la nature. J’ai noté que les jardins domestiques de Barcelonnette ont  beaucoup de plantes qui aiment l’atmosphère sèche comme la lavande, les pommes de terre, ou la salade. Il semble que tout le monde a un jardin à Barcelo. J’ai appris que les tomates de Barcelonnette n’arrivent pas jusqu’à août. En Louisiane, on a déjà beaucoup de tomates mûres au début de juin. Je pense que c’est une différence de l’humidité et de l’altitude bien sûr. Chez-moi, on a un petit jardin pour les légumes comme des tomates, des poivres, des jalapeños, et des concombres.  Tous les types qui aiment la chaleur. J’aime travailler avec le sol parce que c’est très thérapeutique. Quelques fois c’est une bataille contre les insectes et les bêtes qui veulent les trésors dans le jardin. C’est la vie mais cela en vaut la peine. Il n’y a rien qui a un goût aussi bon comme une tomate du jardin que vous cultivez vous-même. C’est un travail gratifiant.
Joubarbe
Barcelonnette a beaucoup de types de plantes sauvages que l’on peut trouver dans les montagnes. On a fait une randonnée avec une botaniste locale qui nous expliquait la flore. Le mélèze est un arbre que l’on peut trouver tout par tout. Il a un sens très bon. Il y a des fleurs de chaque couleur. Par exemple  il y a des gentianes printanières qui sont tellement bleues. L’aster des alpes a une couleur vibrante de violet. Le genépi a les petites fleurs jaunes mais c’est très difficile de les trouver.

 Gentiane de printemps
C’est intéressant que la communauté utilise beaucoup de fleurs comme le genépi, l’absinthe, le mélèze (pour nommer un peu) pour créer des produits différents comme des liqueurs, des crèmes, de la nourriture, et plus encore. Les innovations sont sans fin. J’ai remarqué que la communauté est très consciente de la nature et du processus de recyclage. J’ai vu les récipients pour faire du recyclage de verre, de papier, et d’emballage. Aussi j’ai vu que la plupart de gens utilise les sacs réutilisables plutôt que les sacs en plastiques pour faire les courses. C’est une bonne mentalité qui n’était pas encore arrivée en Louisiane. Ces concepts sont très utiles par rapport à l’environnement et en résulte une meilleure santé globale. Il est important de se souvenir de tous les choses que La Dame Nature nous donne, et nous devons lui donner notre respect pour La remercier.
Col de Raspaillon   2513 m.



La Vie en Via-Ferrata

 En France, j'ai rencontré des défis comme la compréhension des locuteurs, le maintien et l'utilisation de nouveaux mots de vocabulaire et la randonnée au Col de Valonnet, mais ils ne sont pas du tout pareil à la lutte avec la via-ferrata. L'activité était une épreuve mentale, physique et émotionnel. Après que j'ai grimpé pendant dix minutes je me suis demandé qu'est ce que j'ai fait et pourquoi est-ce que je ne suis pas resté dans mon lit protégé de la puissance du soleil et l'inimitié des rochers. À ce moment-là j'ai dû choisir. J'ai choisi de ne pas être négative, de continuer et de ne pas avoir peur, car où se trouve la peur se trouve le courage aussi, donc j'ai choisi le courage. Et c'est vrai que mon lit aurait été plus confortable, mais la croissance se trouve hors du confort. C'est le but de mon séjour en France, de m'améliorer.

De plus, j'ai appris que j'avais tout ce qu'il faut pour réussir. J'ai dû seulement apprendre à utiliser mon savoir-faire effectivement. J'ai déjà fait la tyrolienne, le sherpa, l'escalade et les randonnés. La via-ferrata est simplement un montage de toutes ces activités. Donc, même si je n'ai jamais fait la via-ferrata avant lundi, ça ne veut pas dire que je n'avais pas l'expérience nécessaire pour réussir. C'est la même pour la vie quotidienne. On a des ressources partout : des profs, des amis, des bibliothèques, l'internet. On ne doit pas hésiter à demander pour de l'aide.

Une autre leçon que j'ai appris est que je dois profiter de mes ressources. À la via-ferrata je n'ai pas hésité d'éteindre une roche ou d'agripper une branche. Des ressources se trouve partout autour de nous. On doit simplement les reconnaître et les utiliser.


La dernière leçon que j'ai appris est très importante. C'est qu'on doit aller doucement, une étape à la fois. Ce n'est pas une marathon. Chaque marche compte. Sans chaque pas on n'ira jamais au sommet. Avec un défi si difficile c'est accablant de regarder le sommet et imaginer tout le travail qu'on doit faire, tous les dangers possibles et les seaux qu'on doit suer pour aller jusqu'au sommet. On doit prendre une pas à la fois pour apprécier l'expérience. On mange de la pizza tranche par tranche, pas boîte par boîte. Dans nos propre vie c'est terrifiant de jongler au métier, au mari, à la résidence, à la retraite. Si je pense à tout cela en même temps j'aurai une crise cardiaque. Pour évider le stress, on doit aller jour par jour et apprécier la vie.

En tout, la vie est quasiment la via-ferrata. C'est difficile! Des fois on s'embarque dans des aventures (des études, des relations, des métiers) et dans une moment l'aventure devient une lutte pour la santé mentale et on doit choisir. On doit choisir de ne pas être négative, de continuer et de ne pas avoir peur. On doit persévéré avec le courage en laissant la peur où il convient, derrière nous.

Errer les piétonniers

Nice, Baux de Provence, Aix-en-Provence, St. Remy, Menton—des villes aussi différents que des flocons de neige. Chaqun me laissait entrer et a appuye leur propre emprente digitale sur mon esprit. Cependant, chaqun m'attirait par la même façon : les piétonniers. Ils sont les petits rues qu'on peut traverser seulement aux pieds. Même si les voitures ne sont pas interdit, je pense que les petites rues où on marche dans la rue parce qu'il n'y a pas assez d'espace pour toi et les voitures, ils sont aussi des piétonniers. 



Chaque ville a des piétonniers et chaque ville offre une expérience completement différente. À Aix, j'étais mené par le chaleur à trouver l'ombre, où je trouvait les magasins avec les chemises pour 600€ et les vestes pour 1 000€. À Baux de Provence, je prennais des photos des villes dans la vallée en bas pendant que je traversais les rues qui montaient vers l'ancien château, tout en buvant une granite et je me grisais de la carrière, sa grandeure et son frâicheure. À St. Remy, je trouvais un coin résidentiel du centre cille où j'ai pris quelques photos des chats qui dormaient à la derrière d'une maison.



 À Nice je m'éloignais sur la plage, nageais dans la mer et baladais par les piétonniers tondues du vieux ville. À Menton, j'errais à travers les piétonniers en regardant les personnes qui assisaient dans les cafés et une exposition emerveillante des bonbons et des chocolats. 



Avec ces séjours pendant les week-ends, Jean-Chaix devenait vraiment notre foyer. Pendant les semaines, on travaille avec les gens de la vallée, fait des randonnées, boit un café à Chucas et chaque soir mange bien à Jean-Chaix. Le temps passe vite et chaque nuit, on tombe au lit, épuisé à cause des choses formidable qu'on faisait pendant la journée. 










24 June 2015

Barcelo-Ça te plaît?

Quand on pense des villes en France, on pense à Paris, à Nice, à Cannes, à Aix, et à Marseille. Après ce séjour ici alors, je vais penser à Barcelonnette. Quand je suis arrivé en France, je me suis trouvée dans une des villes caractérisée par l’arrogance: Paris. Oui, Paris est une jolie ville avec les lumières, la majesté de la Tour Eiffel,  l’art dans le Louvre, et simplement l’histoire de la ville, mais j’ai trouvé que la plupart des habitants sont un peu abrasifs. Dans une ville pleine de touristes, c’est difficile de porter un sourire tous les jours, mais les Parisiennes sont dans un autre monde dans laquelle Paris est le centre. Cependant, à Barcelonnette, les habitants sont complètement différents. Ils apprécient la beauté de la vallée, et sont toujours prêtes à la partager avec les visiteurs.  

Le premier jour à Barcelo, nous avons été accueillis par un groupe de locaux, dont chacun heureux de nous voir. Nous avons parlé pendant des heures, et chaque personne voulait entendre ce que nous avions à dire. Il n’y avait pas d’hésitation, ils ne nous ont pas ignorés, et ils nous ont traités comme des amis. C’était rafraîchissant de parler avec des personnes qui nous ont aidés avec notre conversation, mais sans être condescendant. J’ai rencontré un homme, « Bobby » qui, après quelques minutes, il a commencé à m’appeler son « bébé ». Ici à Barcelonnette, parce que tout le monde se connaît dans cette petite ville, les habitants traitent les étrangers comme la famille.

Dans les magasins au centre-ville et dans les restaurants aussi, les caissiers, les serveurs, et les autres patrons nous souriaient et semblaient sincèrement heureux de partager l’histoire de leur ville avec nous. Pendant les stages, nos partenaires sont gentils et favorables, et ils nous aident avec notre communication et notre éthique de travail. Avant que Barcelonnette, je n’ai jamais connu une ville comme cela où les personnes veulent m’assister et veulent que je me sente comme une locale : pas à Paris, pas à Nîmes, pas à Nice. Enfaite, Barcelonnette est une ville pour le tout le monde.


Je sais que je ne vais pas avoir cette expérience une autre fois, mais j’espère que si je retourne en France, je vais trouver des gens aussi merveilleux que les citoyens de Barcelonnette. Alors, quand quelqu’un me demande, « Barcelo, ça te plaît ? » je vais répondre avec « Oui. Plus que tout au monde. »

Photo: Moi et Bobby