Mon séjour dans la vallée de l’Ubaye est fini depuis trois semaines et je veux déjà retourner. L’accueil qu’on a reçu était tellement chaleureux qu’à la fin du séjour, je me sentais comme si c’était ma propre maison d’été dans les montagnes. Les adieux étaient trop doux d'être triste, sans même un goût d’amer… peut-être c’est parce que je suis déjà déterminé à retourner dans l’avenir. Mais il y a beaucoup de choses qui vont me manquer… les repas avec la famille ⟪ manger ?! ⟫, les jeux intenses de ping-pong, les randonnées longues et fatigantes, les petits corrigés qui m’ont gêné, les vues quotidiennes des paysages épiques des montagnes… mais surtout, les petites interactions avec nos hôtes, nos nouveaux amis et l’ambiance des gens charmants de cette région en général vont me manquer.
Je ne peux pas imaginer un autre programme d’étudier à l’étranger qui peut former les relations si proche et si confortable dans une période de temps tellement courte. L’occasion d’interagir si étroitement avec les vrais gens du coin est pas seulement idéale pour l’apprentissage de français, mais c’est aussi une leçon de compréhension d’une autre culture. C’était une expérience très touchante de se sentir pas seulement accepté mais célébré à leurs réceptions auxquelles ils ont partagé leurs coutumes généreusement.
À la fête d’adieu, je me suis assuré de dire ⟪ à la prochaine ⟫ plutot que simplement ⟪ au revoir ⟫. Soit je reviens avec des amis ou peut-être je vais revenir tout seul, mais je vais sûrement revenir à la vallée de l'Ubaye.
05 August 2014
31 July 2014
L'art de voyage
Au moment d'écrire
ces lignes, j'attend le
conducteur du covoiturage de Toulouse à
Bordeaux. Il me reste encore deux semaines de déplacements en France
et c'est aussi gratifant et passionant que
quand j'ai commencé mon voyage. Peut-être
il y a quelque vestige
héréditaire de quelque peuple nomade dans
mon sang qui a été dorment toute ma vie
jusqu'ici...
maintenant je me sent comme s'il y a une passion qui s'est réveillée,
une passion pour le mouvement, la
fébrilité, les petites découvertes qui
arrive chaque jour, l'écoulement
hâté de bonjours et adieux qui
sont faits plus
sincères, le
partage et le solitude qui ponctuent l'un
l'autre et l'incertitude qui accompagne le
voyage. Il semble comme une découverte de
soi importante d'avoir
puisé dans cet art de voyage qui
a toujours été pratiqué partout dans le
monde, par tous les êtres et même les
choses non vivantes.
Je veux continuer à voyager autant que possible
mais seulement dans la mesure où je suis
près des vrais gens du coin, où j'ai les
pieds sur terre, marchant dans
l'herbe au lieu de
seulement à
la salle d'attente, dans les petites rues
secondaires au lieu de seulement dans les grands avenues sur le
chemin aux attractions touristiques. Il y a certainment
un certain sens fascinant
en vol et dans les espaces
liminaires d'attente
qui est une parte importante et inévitable
de l'expérience de voyage, et les grandes
attractions ont leurs mérites...
mais voyager, c'est pas
seulement les avions et les hôtels et les
dix attractions les plus populaires. Il faut qu'on
prenne les risques, mange aux petits restaurants inconnus, fasse des
amis avec des étrangers, decouvre
les quartiers où les
natives habitent et marchent et passent du temps; il faut qu'il
y ait les défis dont on peut apprendre
quelque chose de soi-même. Moi, je sais
maintenant que j'adore l'art de voyager... je
suis couchsurfeur, covoitureur, WWOOFeur, backpacker, americain qui
veut parler français, auto-stoppeur, client des auberges de
jeunesse, joueur de la guitare dans la rue pour des petites pièces
pour mon prochain repas. J'ai déjà
hâte pour le prochain voyage.
19 July 2014
Inattendu, Imprévu
Quand on quitte les États-Unis, on s’attend à de grandes différences
entre le pays maternel et le pays de destination. Je m’y les suis attendue surtout quand j’ai visité la France
l’été dernier. Mais il y a de
petites différences, inattendues, imprévues qu’on remarque quand on vit comme
un citoyen temporaire à Barcelonnette.
1) Le temps
En
Louisiane, il y a une température seulement : CHAUD et HUMIDE. Nous, les louisianais, ne comprenons
pas ce mot : froid. Ici, je
ne porte jamais les bons vêtements ! Ici, il fait froid le matin, très
chaud à midi jusqu’à 16 h 30, et puis froid encore le soir.
2) La paysage
Les
montagnes sont le contraire complet du paysage en Louisiane. Elles ne cessent pas m’étonner. Elles ne cessent pas choquer le corps,
aussi. Avec l’altitude, les
collines et les repas copieux à Jean Chaix, nous nous battons pour respirer
notre souffle pendant nos randonnées.
Pourtant, les vues valent toujours l’effort.
Une
nuit, la lune pleine embrassait la neige en haut de montage. Les deux blanches deviennent une
blanche, élégante et mystérieuse. C’était une vue simple, mais une vue que je n’avais
jamais vue avant et une vue que je n’oubliera jamais.
3) Le bruit
Après
la célébration de l’anniversaire de Roxane, à minuit, Alexis, Roxane et moi
rentions en retour à Jean Chaix du centre-ville. Soudainement, un bruit a rempli nos oreilles. C’était le glouglou de la rive
Ubaye. Nous nous sommes arrêtées
pour écouter sa puissance, en pensant à sa gloire. C’est un bruit qui n’existe pas à Bâton Rouge.
Quand
je me couche, il n’y a pas de bruit.
Rien. Peut-être qu’il y a
le bourdonnement de mouches, mais c’est tout. Les nuits sont immobiles, tranquilles. Le matin, les oiseaux me réveillent
comme mon alarme.
4) La veillesse
Les
États-Unis sont jeunes. Je m’en
suis souvenue plusieurs fois à Paris quand nous avons visité l’arène Lutèce qui
est datée un siècle avant Jésus Crist.
Mais l’histoire est plus près aux gens français que j’avais imaginés et
je me rende compte de cela chez Stephanie.
Un jour, je faisais un stage avec elle et j’ai
appris comment faire les faïences.
Elle m’a accueilli quand j’arrive et elle me monte sa belle maison et
jardin. Avec tranquillité, Stephanie
me dit que sa maison a 1000 ans - je ne peux pas le croire ! Elle m’étonne. Tellement d’histoire, c’était
tellement incroyable pour moi.
Ces différences et événements m’étonnent. Ce sont des choses uniques à Barcelonette,
unique à la France. Parmi ces
choses spécifiques inattendu, il y a des événements qui se sont passés imprévus,
aussi.
1) iPhone, où es-tu ?
Notre
dernier week-end ensemble, nous voyagerons à Nice, chez « le Petit Bleu »,
le nom de la mer à Nice, que j’ai appris grâce à Dubie. Tout ce qui nous faisons est merveilleux. Nous goûtons de la socca, nageons dans
le Petit Bleu comme des sirènes et profitons de la fête de la musique. La ville est vivante avec des concerts
et gymnastes dans les rues, des jeunes gens et le soleil éclatant. Ah…Nice me plaît beaucoup et puis,
soudainement – je ne peux pas trouver mon portable… je cherche partout. Rien. J’ai le cœur lourd de soucis et tourmentée par l’idée que
toutes mes images sont perdues…
2) Une belle anginee
Pendant
le même week-end, j’ai mal à la gorge et la tête. Je ne sais pas pourquoi et mes symptômes restent vagues :
j’ai froid et j’ai une énorme glande gonflée ! Quand je vais au docteur, j’ai été déçue en apprenant les
nouvelles. J’ai une belle angine,
qui exige de quatre grandes piqûres et trois médicaments différents. Je manque le Via Ferrata, je suis si
triste. C’est la dernière semaine à
Barcelonette et je dois rester au lit….
3) Un souvenir permanent
Enfin,
tout va mieux ! Et je peux faire du VTT, même si je suis toujours un peu
faible de la maladie. J’ai hâte
pour l’air pur de la montagne, l’aventure et les activités avec le reste du groupe. Je sens l’air plein sur le visage quand
je commence à faire du vélo et vois la vue magnifique. Nous luttons en montant, même avec l’aide
du vélo électricité, les montagnes sont tellement raides. Mais en descendant… une histoire entièrement
différente! Ma vitesse monte à 15, 25, 40, 55 km de l’heure et j’ai la force. Je m’amuse bien et parce que je suis
maladroite, quand je rencontre de la boue sur le chemin, je glisse. Avant que je le sache, j’ai un genou
saignant. La douleur, la douleur…mais
c’est le début de la descente ; je dois continuer (même avec un genou écorché !). Je vais avoir une belle cicatrice.
Oui,
toutes mes écritures ici parlent de choses inattendues, imprévues. J’ai gagné tellement : plus de
temps pour apprécier les choses qui sont importantes plutôt que de perdre les
temps avec mon portable ; une expérience culturelle avec des médecins français
de Barcelonnette, un souvenir permanent sur mon genou qui va toujours me
rappelle les Alpes. Mais l’essentiel:
je me suis rendu compte de tous les gens ici ont de l’affection pour moi
(surtout Tara, qui a attendu avec moi pendant au moins quatre heures dans la
salle d’attente chez le docteur).
J’ai gagné une nouvelle famille à Barcelonnette. Et toutes mes malchances ont rendu cet
endroit plus comme chez moi. Où
est-ce qu’on perd des choses, devient malade et tombe d’une bicyclette ? Un endroit spécial, chez vous.
- Je vais toujours voir le bon parmi le
mal -
- Ces choses vont me manquer-
- Barcelonnette, tu me manque déjà… -
- Où êtes-vous, les montagnes ? –
Après le dernier dîner avec ma nouvelle famille à Jean Chaix, j’ai vu
une étoile filante. Je n’ai eu rien à souhaiter, si grand était mon bonheur.
14 July 2014
Au revoir l'Ubaye
Je suis partie les Alpes il y a presque une semaine. Même à ce moment,
c'est difficile à croire que le programme a fini. Après être partie des
Alpes, je suis passée deux nuits à Avignon pour voir la ville et pour
préparer pour ma prochaine aventure. Maintenant je travaille dans une
ferme biologique dans la région Languedoc Roussillon avec le programme
de WWOOF France. Quand je me réveille dans les matins, au lieu des
montagnes impressionnante, je vois des jolis jardins. C'est vrai
que c'est différent ici que dans la Vallée de l'Ubaye, mais c'est aussi
une autre grande aventure. Il y a des choses aux Alpes qui me manquent
comme tous les gens de LSU, Jean Chaix, les enfants à l'école où j'ai fait mon stage, et
les activités amusantes que nous avons faits, mais maintenant que je
suis partie les Alpes, je peux vraiment voir la quantité des choses que
j'ai appris pendant le programme. Je peux comprendre et parler beaucoup
plus de français que je pouvais au début de cet été. Ça m'aide
énormément ici à la ferme parce qu'on doit avoir un niveau de français élevé pour comprendre le travail.
Maintenant quand je pense au LSU in the
French Alps, il y a une soirée qui ressorti vraiment dans ma tête.
C'était le soir quand nous avons dit au revoir à nos amis dans la Vallee
de l'Ubaye. Pendant toute ma vie, j'avais toujours détesté de dire au
revoir. Même si je sais que je vais voir l'autre personne encore dans ma
vie, j'ai envie de pleurer. Quand je crois que je ne vais pas voir
l'autre personne encore dans ma vie, bien sûr, c'est pire. J'ai fait la
connaissance de beaucoup de nouveaux gens pendant le temps que j'ai
passé dans la Vallée de l'Ubaye. Ces gens sont allés à notre dernier
dîner à Jean Chaix. Normalement pour moi, ce serait un événement triste.
Cependant, ce dîner était quelque chose complètement différente.
Vers dix-neuf heures du soir les visages familiers ont commencé à arriver, et
nous avions les apéritifs sur le balcon. Jean Chaix est devenu plus
peuplé et plus animé que je n'ai jamais vu. Nous avons bu des boissons
spéciales pour l'occasion. Nous avons parlé beaucoup, et
nous avons pris des photos. J'étais particulièrement anxieuse de manger
ce soir parce que toute la journée, j'avais essayé de deviner ce que
nous aurions pour le repas. Roxane, qui a cuisiné ce repas, le gardait
un secret. Finalement, c'était l'heure de manger. À table, nos
discussions avec nos partenaires de Barcelonnette, nos nouveaux amis,
étaient animés. Nous avons mangé de l'agneau et du couscous délicieux! Le repas était mieux que j'imaginais, et
tout le monde était rassasiés. Après être passé plus de temps sur le
balcon en parlent et en rigolant avec tout le monde, comme nos amis sont
arrivés, ils sont partis, un par un avec des bisous et des promesses de
visiter encore un jour la Vallée de l'Ubaye (et selon Guy avec nos cinq
enfants). C'est vrai que nous avons dû dire au revoir, mais simplement, le soir était trop amusant pour moi d'être triste.
13 July 2014
Maintenant que je suis chez moi
Maintenant, je suis chez moi. Je dors beaucoup et je joue avec mon chien.
Je vais à la piscine souvent aussi et je bronze. Quelque fois, je rends une
visite à mes parents et nous mangeons ensemble. C’est reposant être à Bâton Rouge
encore. Je peux parler avec mes amis encore. Quelque fois mes amis vont
demander comment mon voyage étaient, mais c’est difficile à résumer six
semaines et tout que j’ai appris. Donc je dis que c’était amusant et
incroyable, et je ne donne pas beaucoup de détails.
Quelques petites choses me fait souvenir Barcelonnette. Quand mon ami
regard le football, je pense de tout les gens qui regardaient les joues de
football à Choucas et Jean Chaix. Quand je dois utiliser les toilettes mais il
n’y a pas des toilettes proches, je pense de quand j’ai utilisé les toilettes
sur la montagne au dehors. (C’était une expérience !)
Quelque fois, je pense en français. Quelque fois, je dis « à tes
souhait » et « merci » et « pardon » encore. Je doit
continuer apprendre la grammaire et le vocabulaire. J’espère que dans le futur,
mes cours français seront plus faciles pour moi. Je vais étudier plus dur parce
que je sais que c’est gratifiant à parler français. J’espère étudier ou
enseigner à l’étrangère une autre fois.
Aussi, je vais commencer mes cours d’arabe ce prochain
semestre avec les passé six semaines à l’esprit. J’espère étudier à l’étrangère
au Moyen Orient ou en Afrique alors je peux utiliser l’arabe que je vais
apprendre. J’espère que cette expérience sera comme bon comme mon expérience en
France.
Résumé
C’est difficile à résumer les temps que j’ai passé en France. C’est
difficile à expliquer à mes parents et à mes amis. Cependant, il y a quelque
chose que j’ai fière à dire que j’ai fait.
À Paris, nous avons vu touts les monuments qui sont important dans juste
trois jours. Nous avons vu le tour Eiffel, Notre Dame, et Sacré Cœur. Nous
sommes allés sur une croisière sur la Seine. J’ai mangé des fallafels. J’ai
pris beaucoup des photos des vieux immeubles. Nous avons visité Shakespeare and
Company, où j’ai obtenu une marque-page pour ma sœur.
À Barcelonnette, nous étions toujours occupé avec
quelque chose. Nous sommes réveillé tôt et nous sommes couché tard. Nous avons
fait beaucoup de randonnées aux montagnes. Nous avons monté des chevaux. Nous
avons fait rafting. Nous avons essayé quelques stages. J’ai fait quelques
tartes. J’ai regarni des confitures. J’ai dessiné avec Justine à l’école. J’ai
brossé un cheval. Nous avons sauté de la montagne quand nous avons fait le
parapente. Nous avons monté la montagne quand nous avons fait via ferrata. Nous
avons fait VTT. Nous avons fait la connaissance de beaucoup de gens qui sont
très gentils. Nous avons mangé beaucoup de nourriture qui étaient très
délicieux. Nous avons appris beaucoup de français.
Nous avons voyagé à Aix-en-Provence. Nous avons vu les Carrières de
Lumières avec les artistes, Klimpt et Vienne. C’était beau et incroyable. Nous
avons voyagé à Nice aussi. Là nous sommes allé à la plage où nous avions une
piquenique. J’ai nagé dans la méditerranéen. Le jour après ça, nous avons
voyagé à Menton. Je suis allée à la plage, j’y ai nagé aussi.
Barcelonnette, tu me manques
Aller au centre-ville à Barcelonnette est toujours amusant. J’aimais aller
et obtenir une glace chocolat. Presque chaque fois que nous y sommes allés,
nous avons vu quelqu’un qui nous parlait. C’était très sympa parce que c’a fait
Barcelonnette avoir l’air de chez nous. Nous n’étions pas des touristes qui ne
savaient pas la langue et qui ne connaissaient pas les gens de l’endroit.
Quelque fois, nous voyions François et Daniel. Ils nous ont encouragé. Ils
ont indiqué aux magasins qui étaient difficile pour nous à trouver. Une fois,
François a conduit Alexis, Rachelle, et moi à l’école de musique. Alexis aimait
regarder les filles qui dansaient, et Rachelle aimais parler avec une femme du
piano. Moi, j’aimais parler avec François. Elle était très gentille nous à
aider. Ils vont me manquer.
Il y avait des autres avec lesquels nous parlions au centre-ville. En route à Jean Chaix de Barcelonnette, Katie
et moi, nous avons fait la connaissance d’une femme avec deux chiens. Nous ne
savons pas comment elle s’appelle malheureusement, mais elle était très
gentille. Elle parlait avec nous de ses chiens. Les deux étaient très
adorables. Elle a dit qu’un chien est sourd parce qu’il est très vieux. L’autre
chien est jeun et très enjoué. Notre conversation était simple et sympa.
Si je fait une promenade à Bâton Rouge, je ne vais pas avoir l’opportunité
parler français avec des gens. En fait, Bâton Rouge n’est pas une cité où c’est
probable croiser des amis quand on vas obtenir une glace. J’adore la vallée,
les gens là, et la langue. Touts de ces choses me manquent maintenant que je
suis retournée à Bâton Rouge.
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