Je suis chez moi et je suis triste un peu. J’aime
être ici, mais j’espère que je peux continuer à parler français. Quand mon vol
est arrivé à la Nouvelle-Orléans, j’ai pleuré un peu. J’ai pensé qu’ici était l’endroit
où le voyage a commencé et terminé. C’était une grande conclusion du voyage.
Finalement, l’histoire a fini. J’ai couru quand j’ai vu mon père à l’aéroport. Il
m’a pris dans les bras. J’ai su que j’étais en Louisiane parce que j’ai senti l’humidité
dans l’air. Mon père et moi avons parlé du voyage. En plus, mes amis étaient heureux
que je suis bien rentré. Ils m’ont posé beaucoup de questions. Un jour, je
voudrais les amener avec moi en France !
Rien n’a changé vraiment dans mon quartier. La
vie quotidienne reste juste comme avant le programme. Il fait chaud et il y a beaucoup
d’embouteillages. La vie de la Provence me manque. A mon avis, la vie de Bâton
Rouge est plus stressant que Barcelonnette ; probablement parce que Bâton
Rouge est plus grand. A cause des tailles des deux endroits, c’est difficile à
faire des comparaisons entre les deux. Je trouve que la nature n’est pas
pareil. J’aime bien les montagnes, mais les rues sont très incurvées là. J’aime
bien comment les plantes en Louisiane, pour la plupart, ne peuvent pas survivre
en France. Par exemple, les variétés de l’herbes sont différentes. Au début, les
grands chênes me manquent, mais Bernard m’a montré un type de chêne en
Provence. Les chênes chez moi sont plus grands, bien sûr. Je le trouve intéressant – comment les plantes
doivent adapter au climat juste comme les humains doivent adapter au pays étrange.
Au contraire, les humains peuvent survivre partout mais des plantes ne peuvent
pas survivre dans des certains endroits.
En conclusion, je veux bien continuer avec la
langue française. Je ne veux pas perdre mon niveau, mais c’est difficile parce
que personne ne parle français ici. Je voudrais faire un stage dans un pays
francophone. Donc, je vais écouter à la musique et lire les infos en français. Je
vais écrire à mon camarade de classe à Barcelonnette qui s’appelle Fabio. Il
adore le basket comme moi. En tous cas, je n’oublierai jamais ce programme. C’était
parfait, le voyage.