Malgré le fait que le voyage a fini, c’est pas
“au revoir” mais “bonjour” à une nouvelle vie- une vie dans laquelle on voit
avec de nouveaux yeux. C’est pas la fin,
mais le début- le début d’une journée avec une nouvelle famille et une nouvelle
passion pour la France. Je vivais mon
rêve pendant 5 semaines et je suis si triste de partir, mais il faut que je
pense aux bonnes choses- les souvenirs et le jour où je reviendrai. À bientôt, la France!
17 July 2013
10 July 2013
"Welcome to Baton Rouge"
"Welcome to Baton Rouge"- c'était la
première chose que l'hôtesse de l’air a dit quand nous avons atterri à
l'aéroport de Baton Rouge. Je croyais que j'en avais fini de pleurer dans l'avion,
mais à ces mots, je pleurais encore.
J'ai trouvé ma
valise, j'ai dit au revoir à Kacey, et j'ai été accueilli par ma mère et ma
Maw-Maw (ma grand-mère). J'ai encore pleuré lorsque je leur racontais des histoires
au sujet sur mon voyage.
Ma famille von
Trapp me manque.
Je remercie tout
le monde qui est venu à notre dernier dîner à Jean-Chaix. J'ai eu un été
incroyable et je n'oublierai jamais cela.
Pour ma famille
von Trapp, j'ai deux mots pour vous :
Alabama, Arkansas… 05 July 2013
Après
Il a été intéressant d'être plongé
dans une autre culture pendant les semaines que j'étais à Barcelonnette, mais
je ne rentre pas chez moi tout de suite. J'écris ce blog de Barcelone, le frère
aîné de Barcelonnette, si vous voulez. Maintenant je suis dans un endroit où je
ne parle pas la langue et où je ne connais personne - et franchement je suis
complètement à l'aise. Je n'ai pas peur d'essayer de parler espagnol parce que
viens de passer cinq semaines en essayant de parler français.
J'ai passé 3 jours à Marseille, un
séjour qui m'a beaucoup plu, en sautant des falaises jusque dans l'eau, en
explorant des îles et en rencontrant Jean Brager (un prof de français
extraordinaire a LSU)! En ce moment j'essaie d'aller jusqu'à Lisbonne en train
et de revenir à Paris pour la Fête Nationale française. Le séjour à Barcelonnette
m'a réchauffé pour le voyage, après un semestre percutant et maintenant je ne
veux pas arrêter. Merci beaucoup pour votre hospitalité, tous ceux qui nous ont
aidés pendant le programme et j'espère vous revoir un jour.
04 July 2013
Personnalités
Je trouve que, avec de plus en plus d'expérience en
français, je développe une nouvelle personnalité. Il est intéressant de voir
les deux côtés qui apparaissent : l'ancien, avec l'objectivité anglo-saxon et
le nouveau, avec le zeste et le style subjectif français. Mais il est important
de connaître les origines de ces deux modes de penser et les facteurs de leur
développement.
D'un côté j'ai les pensées d'un anglophone américain qui me
sont venues à l’esprit quand j'avais un tout petit âge. Ces pensées apportent
avec eux beaucoup de connotations sur beaucoup de choses et, puisque j'avais
autrefois de gros problèmes d'anxiété sociale, leurs traces sont encore
présentes. En anglais je me souviens des fois où j'ai été puni, discipliné,
corrigé, où j'ai eu des disputes et où j'ai hurlé des insultes et tout ça
pendant que je sentais une anxiété dans moi, d'avoir tort ou de ne pas faire la
bonne chose. Bien sûr qu'il y avait de bonnes expériences aussi : ma
graduation, mes prix dans des compétitions, etcétéra. Mais ce qui est important
ici, c'est que j'ai passé la plupart de mes malheurs d'enfance ou au lycée en
anglais, alors j'ai une vue du monde un peu plus pessimiste ou réaliste en
anglais.
De l'autre côté, j'ai les pensées d'un étudiant de langue
française qui n'a jamais eu trop de problèmes dans mes cours de français, qui
n'a jamais été ni puni, ni discipliné, ni corrigé (de manière émotionnelle ou
personnelle - juste de manière linguistique ou factuelle) en français. J'ai
voyagé trois fois pour étudier le français, ceux qui ont été parmi les
meilleures expériences de ma vie. Et les professeurs et les francophones ont
été si accueillants et si compréhensifs pendant tout ce temps. Je n'ai pas
encore eu le temps de vraiment parler à ceux qui m'insulteraient en français et
non plus à des gens très désagréable. Alors je n'associe le français qu'avec
les bonnes choses et je me sens beaucoup plus à l'aise en m'exprimant contre
l'avis de quelqu'un, ou en soutenant l'avis de quelqu'un d'autre.
La meilleure chose d’étudier le français, c'est qu'enfin
mes tendances francophones influencent mes tendances anglophones et vice versa
et j'arrive à voir mes pensées de différentes directions. Et vraiment, on
aurait tellement de mal à trouver quelque chose de plus précieux que le pouvoir
de voir ses propres pensées intimement de plusieurs angles et de pouvoir les
modifier pour le mieux. C'est pour cette raison, parmi autres, qu'il faut
étudier les langues et c'est pour cela que j'aime étudier les langues.
29 June 2013
Il faut
Ce soir j’ai
commencé mon dernier blog dans Barcelonnette. Je ne peux pas croire que cinq
semaines sont passées. Je ne veux pas retourner, franchement je pourrais rester
à Barco pour cinq semaines de plus. C’était l’expérience de ma vie. Les étudiants
avec moi sont incroyables et les profs sont fantastiques. Pendant le voyage,
j’ai appris beaucoup de choses et j’ai beaucoup de souvenirs. J’ai fait une
grande connaissance de la culture de France et de la langue française. Pendant
le voyage il y avait une blague entre moi et les autres. Je connaissais
certaines phrases quand je suis arrivée en France. Et j’ai utilisé ces phrases
beaucoup. Pendant le programme, j’ai appris d’autres phrases et j’utilisais ces
phrases beaucoup. Maintenant, c’est une blague avec les autres et moi. Au début
du voyage, ma phrase préférée était « c’est vrai ». J’ai trop dit
cette phrase. C’était une blague pour tout le monde après la première semaine.
Toujours la réponse était « oui, c’est vrai. »
Chaque
fois que j’ai appris une autre phrase, je m’en suis beaucoup servi. La première
phrase que j’ai apprise en France était « bah ouais, c’est ca. » J’ai
compris que les français aiment beaucoup cette phrase et après ca, c’était une
autre phrase populaire chez moi. Aussi, j’ai remarqué les mains des Français
quand quelqu’un dit une blague ou quelque chose de drôle. Après j’ai appris le
geste pour une blague, j’ai utilisé le même geste quand une chose était drôle.
La dernière phrase que j’ai apprise : « Il faut ». Un jour au Bouticycle,
j’ai dit « c’est nécessaire » et Julienne m’a dit que le phrase était
« il faut ». Apres ca, tout était « il faut ». Cette phrase
est populaire avec tout le monde pas juste moi.
Aussi,
il y a les phrases populaires avec le groupe en général. Le phrase plus
populaire du groupe est « le Français, c’est facile ! » Chaque
fois que quelqu’un pose une question de vocabulaire la réponse est évidente ou
le même en anglais on utilise cette phrase. Aussi, les mots
« fatigué » et « impossible » n’existent pas dans notre
vocabulaire. Chaque fois avant qu’on parte dans la voiture Dubie disait
« Tout le monde est là ? On y va ! »
Nos
phrases populaires sont drôles et une blague pour nous. Mais, je crois que les
phrases sont plus importantes que les blagues. Nous sommes une famille et il y
a beaucoup des souvenirs.
La Famille Von Trapp
Depuis je suis
arrivée à Barcelonnette, tous les autres étudiants sont devenus une nouvelle
famille pour moi. Il y a seulement
six étudiants et tous les étudiants sont différents et intéressants. Aussi, nos
profs, Dubie et Mama O, sont passionnants et travailleurs. Il n’y a pas
beaucoup de temps libre sur le voyage. Dubie aime la phrase, « ce n’est
pas des vacances, c’est académique ». Il y a beaucoup d’activités dans la
vallée d’Ubaye et d’autres villes ou villages en France. Alors, on passe
beaucoup de notre temps ensemble dans le minibus. Je pense que le minibus fait
partie de notre famille. Les voyages sont très longs de temps en temps. Alors,
il y a beaucoup de musique pour notre divertissement. Emily a fait un CD avant
le voyage et c’est très bon. Mais, merci à Josh d’avoir porté un câble qui nous
permet d’utiliser l’iPod.
Je
crois que la musique peut rassembler les gens. Pendant ce voyage, la musique
l’a fait. Une chanson, populaire avec Dubie, est « Home » pas Edward
Sharpe. Il adore cette chanson. Et après le voyage, tous le monde connaitra les
paroles de « Home ». Parce que nous avons écouté la chanson plusieurs
fois. Mais, Dubie aime la chanson alors tous le monde aime la chanson (parfois
. . .). Nous avons décidé du nom « La famille Von Trapp ». Les Alpes
français et les Alpes suisses sont similaire, n’est-ce pas ? Les Alpes,
une grande famille et les chansons sont les raisons pour le nouveau nom. La
première nuit que nous avons chanté était après la fête de la musique à la
ville de Saint-Paul. Les étudiants du programme de LSU à Paris était avec nous
et nous nous sommes rendu compte de notre chance de faire partie les personnes
de ce programme. Après la fête, on a chanté pour tout le voyage à Jean Chaix.
« Home » était joué probablement six fois.
D’autres
chansons populaires dans la minibus sont « Brandy », toutes les
chansons des films de Disney, « Hooked on a Feeling »,
« Treasure » par Bruno Mars (Emily et moi, on aime cette chanson
beaucoup et toutes les filles se réveillent à cette chanson chaque matin.),
« Kung Fu Fighting », toutes les chansons de Blink 182 et des ‘80s.
Le voyage à Nice était plus amusant avec l’iPod d’Emily.
Aujourd’hui
on a fait une randonnée avec un botaniste pour regarder des fleurs. J’ai marché
avec Emily et Tara et j’ai posé le question : « De temps en temps,
est-ce que vous pensez : quelle chanson est parfaite pour ma vie
maintenant ? » Quand je réfléchis à ce voyage je sais que je vais me
souvenir des moments avec la musique et quelle chanson était joué avec chaque
aventure.
27 June 2013
Le Ciel
Je pense que depuis toujours j’aimais le ciel et les hauts lieux. Quand j’étais petite je voulais être
astronaute, avant l’université je voulais être ingénieur aéronautique et j’ai
obtenu mon brevet de pilote.
Finalement, maintenant j’étudie l’astronomie et je veux être prof de la
physique et faire des recherches sur l’astronomie (mais, si quelqu’un m’offrait
un occasion d’être astronaute je le ferais).
Bâton
Rouge se situe à une altitude moyenne de 17m (La Nouvelle Orléans se situe à -2m !) et Barcelonnette est de 1,115-2680m. Il existe une grande différence entre
les deux. À Bâton Rouge il n’y a
pas de montagnes et l’été à Barcelonnette est un peu comme l’hiver à Bâton
Rouge donc l’été à Bâton Rouge est presque l'Enfer. J’aime beaucoup les montagnes. Cet été est peut-être la troisième
fois que je vois la montagne dans ma vie et chaque fois que je regarde par la
fenêtre je suis heureuse d’être ici.
L’air est un peu plus sec ici mais l’air à Bâton Rouge est un peu comme
l’eau chaud.
Littéralement
je suis dans un nouveau lieu plus élevé avec un climat plus agréable que chez
moi, mais aussi métaphoriquement tout ici à un l’air plus léger que chez
moi. Nous sommes dans une petite
ville où tout le monde ici nous aime.
Personne ici n’est un étranger.
Il ne sent pas comme la réalité ici. À Bâton Rouge il y a toujours quelque chose qu’on doit faire
ou les gens avec qui on ne veut pas parler, mais ici tous les problèmes de chez
moi sont perdus ! C’est
fantastique d’être loin de Bâton Rouge et au-dessus de problèmes et mes obligations
là.
Depuis
récemment je travaillais à l’aérodrome pour mon stage et je l’aime
beaucoup ! J’ai obtenu mon
brevet de pilote il y a 4 ans donc j’ai oublié beaucoup de choses, mais j’aime toujours
les avions. Je pense que tout le
monde qui travail à un petit aéroport est un peu similaire parce que les gens
ici sont exactement le même que les gens à Gonzales en Louisiane. Ils sont très gentils, un peu fous, est
passionnants. J’aime l’aérodrome
parce que il y a beaucoup de choses à apprendre et tout est intéressant. Nous avons assisté à un cours pour les
élèves pilotes et nous avons appris des choses par exemple comment faire les
atterrissages et les décollages de planeurs et comment rechercher la météo.
Nous avons pu aider avec des décollages avec des planeurs. J’aime beaucoup être avec les gens qui
aiment beaucoup leur travail et qui aiment beaucoup de m’enseigner.
Hier j’ai volé dans un planeur pour ma
première fois ! C’était la chose la plus extraordinaire que j’ai faite en
France. J’étais dans l’air pendant
2 heures et le pilot et moi avons volé jusqu’à 3,000m. Nous avons survolé le
Pain de Sucre et le Chapeau de Gendarme (les montagnes qu’on peut voir de Jean
Chaix). Un planeur est très
différente d’un avion. Il n’y pas de moteur et c’est un peu comme voler sur un
avion en papier. Mais c’était vraiment incroyable parce qu’on survole les
montages, c’est possible de voir les Alpes d’une façon très différente. Quand on voit les montagnes à pied
c’est impossible de voir le taille réelle, mais dans un avion on peut voir les
nuages, la terre, toute la ville de Barcelonnette, et on peut comparer les
choses aux montagnes. Je pense que
je pourrais passer chaque jour dans un avion dans une ville diffèrent. C’est une façon de voir le monde d’une
manière totalement différente.
Hier
soir les étudiants de « LSU in Paris » sont venus à Barcelonnette. Ils étaient vraiment étonné que nous ne
sortons pas chaque nuit parce que nous sommes fatigués après chaque jour ici.
Franchement, après avoir parlé avec les autres étudiants j’étais très contente
d’avoir choisi ce programme et non celui de Paris. Mais, c’était la première fois nous sommes sortis au centre
ville la nuit. Après ça, Kiki,
Josh, et moi sommes revenus à Jean Chaix et nous avons remarqué le ciel. Ici la ville est très petite et il n’y
a pas beaucoup de pollution lumineuse et les étoiles sont vraiment magnifiques. Nous nous sommes assis dans l’herbe à
côté de Jean Chaix et nous avons regardé les étioles et je me sentais vraiment
contente d’être à Barcelonnette.
La via ferrata
À Jean CHAIX nous restons entourés de grandes montagnes si loin et mystérieuses. À part des randonnées, on ne les voit pas de près sauf en conduisant. Alors on savait que la via ferrata serait une nouvelle expérience entièrement. Le matin de la via ferrata nous nous sommes trouvés dans une voiture traversant les petites routes de montagne virantes à 140 km/h très proche aux autres voitures et aux murs des montagnes, ce qui n'était qu'un présage de notre avenir fou.
On est arrivé à la Motte de Caire et a mis les baudriers et les casques et après un tout petit peu d'entraînement on est monté jusqu'au pied de la route. On l'a stratégiquement placé pour que les blancs-becs ne pouvaient pas voir les vraies hauteurs et les vraies angles qu'ils allaient rencontrer. Du pied du col, la route avait l'air aussi sécurisé et presque aussi facile qu'une bicyclette d'enfant à quatre roues. On voyait des bars en fer qui faisaient une sorte d'échelle dans le flanc de la montagne. Et alors ça semblait vraiment de l'excès que nous étions attachés deux fois à des cordes et les uns les autres. Les premiers pas passaient si lentement que moi, le dernier, je n'ai pas commencé la route jusqu'à vingt minutes après le premier avait commencé.
En route, la partie la plus difficile au début était que, chaque 5 mètres à peu près, on a dû enlever les deux musketons de la ligne et les rattacher à la ligne des pieds avant. La route était assez facile, comme un échauffement pour ce qui nous arriverait. J'essayais toujours de voir l'avant du groupe, surtout parce que j'ai passé si beaucoup de temps à attendre au début. Mais ce n'était qu'après presqu'une heure que n'ai vu la partie de la route vraiment effrayante et difficile. De loin j'ai vu des bars suivant le contour de la montagne à travers une fissure qui nous mettraient sur le dos, empoignant ces petits bars en fer au dessus du vide. Cela m'a rendu un peu inquiet, mais pas plus que quand j'ai regardé au dessous de moi et me suis rendu compte qu'il n'y avait que vide même à ce moment-là. Heureusement que je n'ai pas paniqué, mais je peux comprendre comment ces hauteurs et ces espaces rendent certains gens carrément alarmés. Je crois que je comprends la raison pour laquelle on fais la via ferrata en équipe : on peut pas s'arrêter à cause d'un peu de peur s'il y a trois autres qui veulent continuer - sauf Michel, bien sûr, qui chantait pendant tout.
Après deux heures de cette peur on est arrivés vers le sommet pour pouvoir regarder la vallée de haut. Mais tout de suite nous avons commencé à descendre et la descente était beaucoup plus facile au niveau de l'esprit et de l'anxiété. Une assez petite descente nous a rendus au but d'une tyrolienne qui passait au dessus d'une petite vallée. Tout est bien passé, sauf ce qui était presque un désastre où Kacie était encore attachée à Émily quand elle etait allée descendre. Emily, qui avait été attirée jusqu'à la falaise avait vraiment peur, mais Michel n'a pas pensé que c'était grand-chose... Heureusement le reste de la descente s'était passée sans incident.
La via ferrata est beaucoup plus difficile que cela ne semble, mais pour la plupart ces sont des difficultés mentales. Les mesures de sécurité sont complètement nécessaires et on est heureux de les avoir quand on se trouve au dessus des grands vides qu'ils permettent. Tout compte fait, c'était une expérience folle que je ferais de nouveau sans question.
Les stages, mes stages, les stages
Nous sommes
arrivés à Barcelonnette ! Jean Chaix sera « chez moi » pour cinq
semaines. La première nuit à Barcelonnette, nous avons mangé avec nos
partenaires. Tous les partenaires sont très sympas. Ce soir, il y avait une
fête dans le centre ville de St. Pons. Mais il n’y a eu que près de trentaine
de personne. Alors, nous ne sommes pas restés très longtemps.
Pour
le programme, nous avons besoin de faire les stages à différents magasins de
Barcelonette. Il y a beaucoup de choix et chaque personne peut choisir un
stage. Tous mes stages étaient très amusants et toutes les personnes avec qui
j’ai travaillé sont très sympas. Je suis l’étudiante qui ne peut pas choisir un
seul stage. Je veux essayer tous les stages. Mon premier stage était à l’office
de tourisme. C’était très amusant mais il n’y avait pas beaucoup de choses à
faire pour moi. Avant d’y aller j’étais très nerveuse. Parce que le chef a dit
c’est nécessaire de parler français et de connaître le vallée d’Ubaye. Mais,
toutes les femmes qui travaillent à l’office de tourisme étaient très sympas et
drôles. Il y avait beaucoup de conversations et de blagues.
Un autre stage où j’ai travaillé était l’école de Barcelonnette. Laurent est le prof et il était très gentil. Il était un peu difficile à comprendre parce qu’il a un accent italien. Mais tout les élèves étaient très sympa et curieux. J’avais besoin de expliquer ma vie en Louisiane et toutes les différences entre les Etats Unis et la France. J’ai fait une petite présentation pour la classe. J’ai expliqué les bayous, les alligators, les grenouilles, Mardi Gras et l’équipe de football américain à LSU. Je leur ai montré une photo du stade à LSU. Ils n’ont pas pu croire que le stade est si énorme. Aussi, j’ai reçu beaucoup de cadeaux des élèves. Les cadeaux étaient des petites grenouilles que les élèves ont faites avec leurs papiers. C’était très mignon. J’ai travaillé à l’autre école, l’école St. Pons, un après midi avec Emily et Kiki. Nous avons regardé une leçon de maths. Aussi, on a joué avec les élèves à la récréation. Deux garçons ont présenté un spectacle de break dancing pour nous. C’était vraiment incroyable et les garçons étaient très doués. On a joué un jeu avec les élèves mais je n’étais pas très forte.
Le
dernier stage, j’ai travaillé était au Bouticycle. Le premier matin, j’étais
toute seul. Il n’y avait pas beaucoup de conversation au début. Kevin et
Julienne étaient s’occupaient des vélos. Mais après le déjeuner, Joël est allé
avec moi au Bouticycle. On a sorti les vélos de cartons pour Kevin. La semaine
d ‘après, Emily et moi sommes allées au Bouticycle ensemble. Cette fois-ci
il y avait plus de conversation. Il nous a fallu seulement 4 heures pour
construire 2 vélos. Mais, c’était amusant parce que la première fois nous avons
construit le vélo à l’envers. Kevin, Julienne et Franck nous ont invités à
aller au bowling avec eux ce soir-là. Nous avons des amis Ubayen !
Tous
mes stages sont très amusants et chaque stage est diffèrent. Cet après-midi je
vais travailler à l’aérodrome avec Christina, Josh et Emily.
Les américains à Paris
Après
mon voyage à Paris je comprends le citation de Ernest Hemingway, « If you are lucky enough to
live in Paris as a young man, then wherever you are for the rest of your life
it stays with you, for Paris is a moveable feast. » Je n’ai pas habité en Paris mais
c’était une expérience super. J’étais en Paris pour une semaine mais c’était
incroyable. J’ai vu beaucoup de monuments et j’ai fait beaucoup des souvenirs. Aussi,
il y a beaucoup des petits histoires avec les autres étudiants dans le
programme, Tara et la père de ma nouvelle famille, Dubie.
Le
premier jour en Paris avec Tara et Dubie était très bonne. Après le diner, nous
sommes allés au cinéma. Nous avons vu Le
Passe. Je souhaite que je peux dire le film était très bonne et j’ai
compris le film entièrement. Mais, ce n’est pas vrai. C’était très difficile de
comprendre. Aussi, Je n’ai pas pu se réveiller. Tout le monde a eu une problème
avec se réveiller. Le voyage est très intéressant et amusant. Aux même temps le
voyage est très épuisant. Je ne sais pas l’histoire du film toujours.
Les
deux prochaine jour, nous sommes allés à l’arc de Triomphe, le jardin de
Tuileries, le tour d’Eiffel, les Champs-Élysées, la place de la Concord, le
Louvre, et Port des Arts, Notre-Dame, Montmartre, et Pompidou. Nous avons fait
beaucoup de choses en un peu de temps. Tout le monde était très épuisant. Mais,
au même temps était très enthousiaste. Nous avons dormi chaque fois que nous
avons pu. Sur le bus, le métro, le train : partout. Kiki est le meilleur à
s’endormir. Elle peut s’endormir tout le temps.
Nous
avons pris une belle promenade en bateau sur la Seine. Le Tour d’Eiffel était
illuminé et très jolie ! Notre jour final en Paris, Kiki, Joël et moi êtes
allés au chez Clarisse et Juliette. Juliette, Clarisse, Luka, et Capucine
étaient la. Nous avons bu et parlé. Le manque de communication était un peu
frustrant. Mais, après trente minutes, nous avons rit et parlé. J’ai réalisé
beaucoup de différences entre la vie française et la vie américaine :
1.
La
salle de bain : Elles ressemblent les toilettes dans les avions. Les
papiers toilettes sont comme le carton.
2.
Tout
le France fument. Tout.
3.
Quelle
est la raison pour les différentes fiches ? Je ne la comprends pas.
Il y a beaucoup de différences mais je n’ai pas le temps de faire une liste
complète. J’ai aimé Paris ! Le choc culturel est un peu difficile. Ceci
dit, j’aime le France et tout les différences. Je suis heureuse que j’ai la
chance d’apprendre une culture diffèrent. Je sais que le culture de Ubaye est
diffèrent de Paris !
Le samedi, nous sommes partis pour Barcelonnette et l’Ubaye Vallée. Tout le
monde avait très haute. Nous avons voulu nous rencontre tous les gens de
Barcelonnette ! Chaque expérience que nous avons est intéressante et
passionnant. Au même temps, il y a des luttes avec surmonter les manques de
communication et le choc culturel.
Chaque jour en France est une nouvelle aventure et un combat !
Mon voyage à Paris
Je
suis partie pour la France à 7 heures samedi matin. Le vol de Bâton Rouge à Charlotte n’était pas mal. J’ai
essayé de dormir mais je n’ai pas pu. Nous sommes arrivées à Charlotte à 9h30.
Mais notre vol vers Paris n’était que 5 heures. L’escale était très
longue. J’étais avec Emily et Kiki
ce qui a fait passer le temps plus vite. Après ca nous avons dormi sur le sol
pour un petit moment. Ce n’était pas confortable !
Le
vol à Paris était très long. Je me suis assise à coté d’une petite fille. Elle parlait beaucoup. J’ai dormi pendant longtemps sur le
vol. Je suis heureuse parce que je ne voulais pas dormir en arrivant.
Nous
sommes arrivées à Paris à 10h. Après nous avons pris le train, nous nous avons
tout perdu. Nous avons marché beaucoup ! Une femme nous a aidé à trouver
notre auberge. Notre auberge s’appelle la Régent de Montmartre. C’était très
cool. Nous ne pouvions pas entrer dans notre chambre jusqu’à ce que l’après
midi. Alors, nous avons marché dans les rues de Paris !
À
4h nous avons pu aller à l’hôtel. J’ai apporté trop de bagages. Notre chambre
était parfaite pour nous. L’homme qui travaille à la réception était très
mignon. Nous étions très fatiguées et nous avons dormi à 6h. Le lendemain matin
nous nous sommes réveillés à 10h. Nous avons dormi pendant 16 heures !
J’étais bien reposée. J’étais prête à explorer de Paris.
Sacré
Cœur est la première église que j’ai vue à Paris. Elle était très jolie !
Mais il y a beaucoup des escaliers à le Sacré Cœur. J’étais très fatigue après
je suis montée. Je pense qu’il y a eu émeute ce jour là après que nous l’avions
visité. Il y avait beaucoup des polices. Joël est venu nous retrouver au
Sacré-Cœur. Nous avons mangé dans un café. La serveuse nous a aidé avec notre
français. Elle a pensé que nous étions drôles.
Aussi,
j’ai pensé que j’avais oublié ma brosse à dents. Alors, je suis allée à la
pharmacie. J’ai parlé avec la pharmacienne en français. J’étais enthousiaste de
parler avec une parisienne ! Mais quand je suis retournée à l’auberge je me
suis rendue compte ce qu’elle a oublié de mettre ma brosse à dents dans le
sac ! J’étais très ennuyée. Donc, j’avais besoin d’utiliser la brosse à
dents de Kiki.
Maintenant,
nous sommes au FIAP. Notre chambre est bonne et large. Ce soir, nous allons
retrouver Tara et rencontrer Professeur Dubernet. J’ai haute de voir les
monuments demain et jeudi ! Jusqu'ici le voyage est très amusant et
intéressant ! Aussi, ma phrase préfère est « C’est vrai ! »
Goutez!
La première semaine à Barcelonnette est terminée et nous avons fait plus de
choses que je ne peux me rappeler.
Barcelonnette est un paradis après Paris. Le temps est parfait, ensoleillé mais un peu frais et toutes
les montagnes sont très jolies !
Aussi, tout le monde ici est très génial et heureux de rencontrer notre
groupe. Jean-Chaix est chez nous
pour le mois de juin et il est fantastique.
J’ai dit à mon amie « Je pense que la plupart de ma vie se consiste à passer
le temps entre les repas.» C’était une blague bien sûr, mais c’est presque
vrai. Particulièrement ici, les
repas sont fantastiques. Chaque
déjeuner et dîner nous mangeons ensemble et toujours il y a trois plats et le
café. Quand j’étais petite j’étais
sélective avec ma nourriture et encore j’aime connaître les ingrédients, mais
en France, c’est impossible. Il
faut tout essayer ! Surtout, je ne sais pas ce que je mange, mais je mange
et JE L’AIME ! Non, je n’aime pas TOUTES les choses (le roquefort), mais
Dubie (Bernard) disant que si je continue à le goûter je vais l’aimer. Je suis
heureuse que j’apprenne à manger des choses que je pensais que je n’aimais pas
et que j’apprends à essayer de nouvelles choses. J’apprenais de boire mon café sans lait ou crème, de manger
des tomates et des oignons, d’essayer chaque fromage et chaque saucisson (même
si c’était dur).
Mais, la nourriture n’était pas la seule nouvelle chose. J’essayais beaucoup de nouvelles choses
comme jouer à la pétanque, parler à des étrangers, faire les randonnées, faire de
la luge, dormir dans une voiture. . . Quelquefois j’aime les choses, mais
quelquefois je ne les aime pas, mais c’est toujours une bonne idée de les essayer.
Pour les stages
cette semaine je travaillais au centre équestre. J’ai choisi le centre équestre parce que j’adore les animaux
et je travaillais avec les chevaux quand j’étais plus jeune et je l’aimais. Le Centre Équestre était un bon stage
parce que les gens étaient très sympas et ils parlaient doucement avec
moi. Aussi, il y avait toujours
quelque chose à faire. J’ai appris
beaucoup de vocabulaire et j’ai appris comment habiller les cheveux et nettoyer
la ferme. Aussi il y avait des
chèvres, des poulets, des chiens, un chat, un lapin et un âne. C’était un très bon stage pour moi
parce que je n’ai pas peur des animaux ou être sale, et j’adore tous les
animaux là.
Aussi,
le weekend dernière nous avons fait une randonnée. Probablement la chose que je redoutais le plus sur le
voyage. Je comprends que si on
veut voir les montagnes et la nature, il est nécessaire de faire une randonnée,
et je veux voir l’Ubaye ! Mais je suis asthmatique et j’ai beaucoup de difficulté
à respirer et c’est quelque chose qui est très embarrassant pour moi. J’ai fini la randonnée avec beaucoup de
médicaments, l’aide de Tara et Dubie, et des arrêts fréquents. À la fin la vue était incroyable et
j’étais très heureuse que j’aie fini, mais je pense que je peux encore dire que
je n’aime pas les randonnées.
Peut-être seule, quand personne ne peut écouter ma respiration, mais
avec un groupe, non.
Une
phrase populaire du group est « Quand en France… ». Le sens de l’expression veut dire est
quand on a une occasion unique, il faut le prendre et essayer de nouvelles
choses ! Donc mes conclusions
après j’essayais beaucoup de choses : Je n’aime pas les olives, les
randonnées (avec beaucoup de personnes), et mes poumons. Et j’aime presque tous
les fromages, les tomates, les petits chèvres, le soleil quand il fait froid,
beaucoup de saucisson, la confiture groseille, pétanque, et les
montagnes !
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