C’est une chose bizarre, la préparation. On peut penser qu’on est prêt, mais on ne peut jamais être sûr jusqu’au moment où on est là. J’ai apporté avec moi une grande valise...pas juste
un peu grande pour ce voyage, mais vraiment grande en général. Le voyage à
Paris était un peu difficile, mais ce n’était pas la ville qui était le problème, c’était moi. J’ai appris beaucoup de choses quand nous avons
marché aux monuments grâce aux bonnes présentations. J’adore l’histoire et la culture de Paris, c’était une expérience de voir, écouter, sentir, toucher, et goûter !
Je m’inquiétais pour moi-même. Est-ce que j’ai toutes les choses que je dois avoir? Est-ce que je dois appeler ma
mère maintenant? Est-ce que mon français est suffisant? Ces pensées se
manifestaient dans le voyage. Premièrement, il y avait la navigation de l’aéroport. Ma valise était un problème, et les valises des autres aussi étaient
problématiques. C’était très difficile à bouger à travers le métro de Paris, notamment quand
quatre filles (ensemble) ne pourraient pas découvrir comment acheter un billet.
Les escaliers étaient les pires et il n’y avait pas beaucoup d’ascenseurs en France. Je pensais que tout le monde
me regardait comme « quelle américaine stupide », mais je pensais en
même temps que tout ce que je pourrais dire était « oui, je parle
français (je pense… ?) » J’étais si nerveuse que j’ai oublié comment faire une phrase simple. En
fait, le bruit que ma valise faisait quand je descendais des escaliers était
horrible. La valise était trop lourde et agaçante comme un rappel constant de
mon erreur. Aussi, tout le monde était fatigué et quelqu’un était malade donc il devrait être évident que nous n’étions pas les plus gentilles que possible. Deuxièmement, nous voulions
appeler nos familles, mais nous ne pourrions pas trouver le wifi. Ce n’était pas le meilleur jour. Après d’avoir laissé nos valises au FIAP, nous sommes allées à un café pour une boisson
fraiche et les choses devenaient un peu mieux ! C’était confortable à être dans un café avec mes amis et à manger quelque
chose pour satisfaire mon estomac. Je n’avais plus de valise et plus important, pas de pensées du futur ou du
passé.
Ma valise, une grande
valise orange garde mes sentiments de ma maison. Elle est venue avec moi à
travers le métro (encore), au TGV, et aux escaliers de Jean Chaix. Dès que je
suis arrivée à Jean Chaix à Barcelonnette, j’ai été prête à jeter ma valise dans la rivière et la raison pourrait être
expliquée par ceci : Le premier soir, nous avons eu un dîner avec les amis
de LSU à Barcelonnette. J’aimais parler avec les gens de Barcelonnette. Ils
sont très gentils et c’était évident qu’ils voudraient m’aider avec la langue française. Aussi je vois qu’ils voudraient apprendre à nous connaître! J’ai senti que j’étais chez moi, comme un dîner avec ma famille
(sauf les coudes sur la table). Nous avons parlé, nous avons sourit, et nous
avons rit ! Et ma valise est « dans la rivière » parce que je
dois vivre dans le présent : le matin, l’après-midi, le soir. Maintenant, j’habite ma maison à Barcelonnette et j’essaie de la trouver où je reste.
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