05 June 2013

Beaucoup de rires à Paris


Paris- Cette ville n’est plus quelque chose de mon imagination; elle est réelle.  J’ai vu la Tour Eiffel, le Centre-Pompidou, le Jardin des Tuileries, Versailles, le Louvre… toute les choses qui n’étaient que les photos dans le livre sur la petite table au salon chez moi.  Paris était un rêve et maintenant, je la connais.  Même si c’était parfois difficile pour communiquer, vivre d’une valise et ne pas faire la grasse matinée, je me dis : c’est la vie, ce sont les vacances ! Ris !  Rigole !  Et alors, nous avons beaucoup ri à Paris.  Quelquefois, le jour a commencé avec beaucoup debâillements, mais il a toujours fini avec le rire.  Et pour moi, c’est la meilleure chose.  La vie devrait être composé de rires.  Nous étions fatigués.  Nous avions mal aux pieds.  Nos têtes étaient si désorientées.  Mais nous avons toujours ri.  Alors, je vous présente quelques de nos aventures à Paris Vous êtes bien libre de rire.

            C’est le premier jour à Paris.  Kiki, Kacey et moi partageons une chambre à un auberge près du Sacre-Cœur.  Après avoir dormi pendant presque 20 heures et entendu plus de français que jamais, nous sommes prêtes à explorer Paris, goûter Paris, sentir Paris.  Dans toutes les façons du mot « vivre » à Paris, que pour une semaine. 
Alors, nous décidons d’aller à un café et prendre l’apéro avec une belle vue sur Paris.  Bonne idée, n’est-ce pas ?  Plus simple à dire qu’à faire. Nous choisissons un petit café avec une bonne vue et avec notre bon français nous disons : « Une bouteille de chardonnay s’il vous plaît. »  Nous nous sentons français.  Tout est bon.  Nous parlons, buvons, apprennons de nouveaux mots et puis, la bouteille est vide.  Pas de problème.  Nous attendons l’addition.  Nous attendons.  Nous attendons.  Nous attendons… je me demande : « Qu’est-ce qui se passe ? » Nous attendons un peu plus.  Rien. Où est l’addition ? Trente minutes passe.  Finalement, nous trouvons le courage pour demander.  J’entre dans le café et je dis « Excusez moi de vous dérangez (exactement comme j’ai pratiqué) mais nous sommes prêtes pour l’addition. »  Puis, beaucoup de français que je ne peux pas comprendre et j’attends avec mes Euros dans mon main pour signifier ce que je veux dire.  D’une manière ou d’une autre, nous payons et l’idée de se sentir français et si loin de nos esprits.  Nous rions parce que sinon évident à cause de nos vêtements, c’est évident maintenant que nous sommes américaines.  Même avec 5 ans de français au lycée et à l’université, je ne peux pas payer pour une bouteille de vin.  C’est un peu intimidant, mais la seule solution est rire ! Alors, nous rions et continuons avec notre journée.
            Peut être l’histore la plus drôle est l’histoire qui continue même aujourd’hui.  C’est l’histore de Kacey et sa brosse à dents.  Maintenant, c’est le premier soir à Paris. Nous sommes fatiguées.  Nous sommes prêtes à prendre des douches et nous couchons.  Mais Kacey dit : « Oh, je pense que j’ai oublié ma brosse à dents. »  Euh… nous pouvons partager beaucoup de choses, mais une brosse à dents n’est pas une des choses.  Pas de problème, elle dit.  Elle va l’acheter.  Alors, nous pratiquons une petite conversation pour être préparées pour la petite aventure (parce que jusqu’à maintenant, toutes les choses en France sont des aventures).  Kacey part et quand elle retourne, elle dit « Écoutez, j’ai acheté une brosse à dents sans problème. La femme au magasin a parlé français avec moi et j’ai compris chaque mot. »  Elle est si heureuse, si fière.  Et nous, nous sommes un peu impressionnées, en fait.  Alors, elle ouvrit le sac du magasin et ses yeux sont devenus plus grands.  Elle dit « Où est la brosse à dents ? J’ai le dentifrice mais où est ma brosse à dents ? »  Je ne peux pas m’empêcher de rire. Elle était si heureuse et maintenant, elle a oublié la seule chose dont elle avait besoin.  Mais en fait, sa brosse à dent était dans sa valise depuis le début.  La prochaine partie de l’histore s’est passé quand nous sommes partis du FIAP et Kacey a oublié sa brosse à dents à la chambre.  Moi, j’ai sauvé le jour parce que je l’ai trouvée.  Alors, c’est la raison pour laquelle je dis que l’histore continue.
            Il y a trop d’histoires pour raconter, trop de rires.  Ces histoires-ci, elles représentent bien nos premières aventures en France : la confusion, la malcompréhension et le rire.  Je suis heureuse d’avoir vu Paris mais je suis plus heureuse que j’ai eu la chance de rire avec mes nouvelles amies dans la ville des lumières. 

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