À ma première écriture sur ce site, j’ai écrit
sur le sujet de l’inconnu et ce que celui signifie. L’inconnu a un bizarre
relation avec le néant, le rien du moins. Parce que l’inconnu est, au même temps,
quelque chose depuis qu’il est rien. Il est quelque chose on peut dit, mais
quand quelqu’un parle de l’inconnu, il parle de quelque chose qui signifie
rien, quelque chose sans l’être en réalité. Donc, le rien du moins et l’inconnu
ont une relation bizarre avec réalité comme chose qui sont entre d’avoir un
sens et ne pas avoir un sens.
Ainsi, je souhaite à écrire sur un quelque
chose concrète, mes écritures sur ce site avaient très abstrait. Comment est-ce
je fait l’expérience du rien et de l’inconnu, commet est-ce quelqu’un connait
quelque chose n’a pas une définition, ou qui a une définition qui est un
antonyme de quelque chose. L’expérience, que j’avais, peut illuminer le sens
difficile, lesquels je vais désigner comme simplement : Le néant
Mon expérience avec la néant s’est passé à
cette église dans à la montagne ici. C’était très bizarre, comme un sentiment
d’inférence complète, mais indifférence mieux décrite comme le contentement.
Voici mon histoire : Mon prof, Dubernet, et moi avions marché à une église
médiéval pour la voir. Nous arrivions et il m’a dit l’histoire de l’église, et
de sa destruction par une avalanche environs 1550. L’histoire des arts pour l’église
depuis que les artistes et les matériaux pour les arts (pour peindre) n’existait
pas quand l’église a construit, l’architecte a changé les couleurs des
matériaux pour construire l’église et le change des couleurs avait la
décoration et l’art pour l’église. Mais, mon prof a dit une grande observation,
« l’art pour l’église est par nous tous » ce n’est pas la citation
exacte mais l’idée est là.
Les autres étudiants étaient arrivés et prof.
Dubernet leur a expliqué la même chose qui a fait pour moi. Et après ca, quand
nous avions devant l’église et les anciens sentiers j’avais un moment de
saturation, une saturation des chose qui étaient partout moi. Et, à ce moment-là,
j’ai pensé à rien, je n’etais conscient que des chose partout, je n’ai pas réfléchit
sur quoi j’ai vu ou quoi j’ai ressentit.
Mon esprit n’a pas pu répondre et j’étais très content. J’avais une
relation avec le rien qui était dans m’esprit et à la même temps, j’ai vécu
tout qui était devant de moi. Donc, j’ai seulement vécu, et j’ai cherché
quelque chose qui m’a donné une relation avec la nullité, une transcendance,
j’ai échappé à la malédiction de la pensée.
Tellement, je pense que c’est une raison pour
voyager. L’expérience d’échapper mais en même temps, enseigner (apprendre) ce
qui est. Pour enseigner notre relation avec les chose partout et que, nous
pouvons, nous échappons de nous-mêmes et ressentir. L’évasion de la malédiction
de la pensée.
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