25 June 2014

Non, non, non, pas comme ca !


« Potiran, potirhum, potirone. » Pendent trente minutes Mimi m’a aidé à prononcer le mot, « potiron ». Mimi est une femme qui travaille au magasin du pays à Jausiers où je fais mon stage. C’était difficile pour moi de prononcer la fin du mot. Elle a dit que quelque fois j’ai prononcé la fin de « potiron » comme le mot, « rhum ». D’autres fois elle a dit que c’était drôle le façon que j’ai bougé la bouche, la tête, et les épaules quand j’ai essayé le prononcer. Elle a dit « potiron » et j’ai essayé de le dire, et elle a dit « non, non, non, pas comme ca ». Elle était patiente avec moi et gentille de prendre le temps de m’aider.
J’ai entendu les mêmes choses à la pâtisserie aussi. « Non, non, non, pas comme ca ». À la pâtisserie, j’ai entendu ces mots quand j’ai essayé de plier la croute des tartes.  Plier la croute d’une tarte n’est pas facile ! Il y a une technique que je ne sais pas faire. Le pâttissier la, Benoît, était très sympa et patient avec moi, même si je pense que j’ai fait toutes les tartes moches.
J’ai entendu « non, non, non, pas comme ca » à un autre stage : le centre équestre. J’ai vu la première fois qu’un cheval était monté. L’homme qui a monté le cheval a dit « non, non, non, pas comme ca » au cheval quand le cheval a cahoté. Le cheval doit entendre ça pour apprendre. C’est la même chose quand on me dit « non, non, non, pas comme ca ». J’apprends. Entendre « non, non, non, pas comme ca » n’est pas décourageant pour moi. En fait, c’est encourageant parce que c’est facile à voir que les gens qui me le disent veulent m’aider. 

No comments:

Post a Comment