Avez-vous déjà
jeté une chemise noire dans un séchoir avec une pile de serviettes blanches ? Le
résultat repéré, malpropre, et anxiogène déclenchant décrirait parfaitement le
ciel nocturne à Barcelonnette. C'est un mélange lustré de noir et blanc, qui
mélange ensemble jusqu'à ce forme quelque opaque, pointillé, couverture sur
notre maison ici à Barcelonnette. Ça semble quelque chose que Dieu a acheté de
Jackson Pollock pour €100 000 pour draper sur l’Ubaye.
L’environnement
et le ciel ici sont très différents que le beau produit d’Exxon à Baton Rouge.
Il y a beaucoup de choses ici qui te font penser « je ne suis pas dans une
ville ». C’est comme si les temps ont fait une petite pause, tandis que le
reste du monde s’est perdu dans le courant de travail. Je viens de visiter le
marché en plein air, et ça me fait demander combien de temps est-ce qu’il y a
depuis la dernière fois que j’ai acheté nourriture sans une boîte. (La réponse
est juste avant mon départ, je suis un croyant des produits frais).
Mais
l’argument reste, les citoyens de Barcelonnette ont une certaine joie de vivre
qu’il n’y a pas dans les grandes villes aux États-Unis. Je veux dire que l’air
des montagnes a une partie, ou peut-être l'absence de stress qui est causée par
une vie moins provoqué par le travail. Je ne sais pas. Mais, je sais qu’il y a
une grande leçon que j’ai appris dans mes premiers jours ici à Barcelonnette, vivez
la vie lentement. Appréciez les petits détails, parce que nous manquons ces
bonheurs fréquemment. Le temps aux États-Unis passe trop vite, et nous avons
besoin d’asseoir et sentir les baguettes.
Bande originale à mes derniers jours, qui décrit parfaitement l'atmosphère de Barcelonnette
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