La Messe à Faucon

Hier, je suis allé à la messe au couvent à Faucon-de-Barcelonnette avec Françoise Garnier, Margo, Rachel, Emily, Lauren, et Jennifer. Pour moi, c’était la troisième fois que je suis allé à la messe pendant le programme. Le couvent est petit, je pense qu’il a environs la même taille que Jean Chaix. Quelque chose dont je me suis rendu compte hier était que je suis le seul homme du programme qui est allé à la messe hier. Ce n’est pas une surprise. Souvent, quand je vais à quelque chose du culte, il y a plus de femmes que d’hommes. Je trouve que, en générale, les femmes sont plus spirituelles que les hommes. Moi, je ne sais pas encore qu’est-ce que je pense de ça.

La messe était dans l’Oratoire du couvent ; c’est petit et intime là. Pendant la messe, j’avais ma copie de l’Ordinaire de la Messe, et pour la plupart du temps, je l’ai bien suivi. J’ai montré les prières à Emily et à Rachel parce que nous ne connaissions pas les prières de la messe en français. Pendant la messe, il y avait quelques prières qui étaient chantées, et un quelques prières en latin, mais la plus spéciale, à part de l’Eucharistie, qui est toujours la meilleure chose, était à la fin quand nous avons chanté  « Je vous salue Marie ».

Après la messe, nous (Françoise, Margo, et nous, les étudiants) sommes allés à la grande église du couvent, où Père Frédéric, le célébrant, nous a présenté l’histoire de l’ordre des Trinitaires et leur mission. Leur mission est de sauver les captifs, spécialement ceux qui sont emprisonnés pour être chrétiens, mais aussi n’importe quels autres captifs, comme les captifs des drogues, de l’alcool, de la prostitution, etc. Au commencement, l’ordre collectionnait l’argent pour payer les rançons et aussi faisait les échanges de prisonniers musulmans pour les prisonniers chrétiens. C’est une bonne mission et un bon service.

Puis, avant que nous sommes partis du couvent, Françoise et Père Frédéric m’ont demandé si peut-être le chemin de ma vocation est à Faucon avec les Trinitaires. J’ai répondu comme je réponds d’habitude aux questions comme ça, avec mon cœur et mon esprit ouverts : « Dieu connait mon chemin, et je vais essayer de le suivre. Je pense que mon chemin n’est pas ici, mais qu’est-ce que je sais ? On va voir » !