Dans les
montagnes, nous sommes toujours en haut. Même dans la vallée : le centre
Jean Chaix se trouve à une altitude du 1200 mètres. Mais, cette semaine, nos
aventures étaient dans le ciel.
Vendredi, nous
avons fait du parapente. Ça ressemblait à un oiseau vraiment bizarre. Je n’avais
jamais imaginé que les montagnes pouvaient paraitre si petites. C’était calme
et tranquille, et il faisait vraiment froid. Aujourd’hui, nous avons fait une
chose vraiment différente. Nous avons regardé les montagnes dans un petit avion
de quatre places. C’était bruyant, et nous sommes passés vraiment près des
montagnes. Il y avait deux avions en même temps, et l’autre avion semblait
incroyablement petit. Il a presque disparu. Je me suis sentie vraiment petite.
Les montagnes semblent énormes quand on les regarde d’un avion. Les deux fois,
j’ai pensé que j’étais exactement comme un petit oiseau.
La première fois
que nous sommes montés sur les petits cols des montagnes, avec les falaises d’un
côté et rien sauf le ciel de l’autre côté, je me suis sentie comme un oiseau
qui a quitté le nid pour la première fois. Je sens encore que la voiture peut
tomber de la montagne quand nous conduisons dans les cols. Je n’ai pas pu
imaginer les nuages si près du moi avant d’avoir vu les Alpes.
Mais le sentiment
ce n’était pas aussi bizarre que je l’avais imaginé. Probablement parce que le
sentiment de voler s’applique aussi aux autres façons de voyager. La première
fois que j’ai utilisé le subjonctif correctement, j’ai pensé que j’ai pu voler.
Je pense que c’était la même chose pour les autres étudiants, et les autres
victoires. Petit à petit, nous apprenons le français ensemble. Et chaque fois
que quelqu’un apprendre quelque chose de nouveau, c’est comme une petite fête.
Nous sommes comme les petits oiseaux qui apprennent à voler.
Bisous,
Jenn
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